OujdaCity, un clavier, trois langues,…
Trois civilisations, trois cultures, trois richesses, trois tendances philosophiques, trois visions du monde, trois points de vue,… Un pluralisme linguistique, culturel et d’expression qui ne se trouvent que dans, sur et chez OujdaCity.
Depuis sa création, OujdaCity, en tant que journal électronique, s’est engagé à être neutre et global. Aussi devrait-il évoluer vers l’universalité.
Il y a de la place pour tout le monde et tout le monde est le bienvenu. Autrement dit, dès lors que OudaCity incarne la liberté d’expression, d’opinion – d’où son succès et sa popularité -, tous les penchants sont permis, à une seule condition naturellement; que les propos choquants ou diffamatoires soient modérés et exprimés avec discernement.
Grâce à OujdaCity, le citoyen oujdi d’ici et d’ailleurs devient plus éclairé et ainsi découvre et connait sa ville et ses concitoyens mieux que jamais, avant de se pencher par cette fenêtre sur ce qui se passe sur la scène nationale et internationale.
Finalement, c’est grâce aux écrivains sages et pondérés d’OujdaCity, comme celui que j’appelerais « docteur sans frontières » ou l’autre que j’appelerais le gentelman des inspecteurs de français, et, à l’espace interactif du journal, que les tempéraments, jadis hermétiques et sclérosés, deviennent actuallement ouverts et perméables au progressisme et au modernisme et que l’univers social régional se démocratise jour après jour.
N’est-ce pas une valeur ajoutée? Si, si! Répodraient les épanouis.
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