Quand l’envie d’écrire est immense et qu’elle envahit les viscères des écrivains d’Oujdacity, muses et pensées, idées et projets se déchainnent, font rage, deviennent incotrolables et se précipitent de sortir du fond des entrailles encombrées. la tentation est, donc, si forte et si grande que Mohammed, Ahmed, Samira, Abouhind et Oumouanass, entre autres, interrompent toute autre activité, s’isolent et se renferment dans leurs bureaux ou chambres – lieux préférés d’inspiration, devant leurs pc – et s’arretent meme de s’approvisionner suffisamment en oxygène; car l’heure est à la concentration, à la contemplation et à la méditation, en vue de produire quelque shose d’intellectuel, susceptible d’intéresser, de secouer, et surtout de « séduire » un léctorat averti et exigeant. Et, avant de donner libre cours à leur imagination et à leur claviers, ils réveillent Balzac et Virginia Woolf ou encore Khalil Jobrane et Hussein Marwa qui sommeillent en eux.

L’envie d’extérioriser les idées qui atteignent leur maturation, qui hantent et dérangent les personnes et qui deviennent « insupportables » est telle que tous ceux qui ont fait d’Oujdacity une tribune veulent s’exprimer sur tout et sur rien, sur eux-memes et sur autrui, sur  leur malaise et sur les malheurs des autres.

Certains, à l’instar d’un professeur scrupuleux qui se soucie pour ses élèves, se creusent la cervelle et s’arrachent une partie d’eux-memes pour servir et rassasiers des lecteurs assoifés, en leur offrant d’une part, dans un style réaliste et engagé et une écriture de constat, des merveilles sous forment d’articles qui puisent leurs thèmes dans l’observation du monde et, d’autre part en les dotant de moyens leur permettant d’analyser les moeurs de la société et dedénoncer les maladresses et le déraillement de ceux qui nous gouvernent. D’aures se révoltent carrément et simplement contre les règles linguistiques, contre le silence, le tabou et l’interdit et tout en écoutant leurs reveris voire leurs fantasme, ils se mettent à s’exprimer courageusement sur tout ce qui nuit à la progression du pays.

Peu importe qu’ils divaguent ou qu’ils soient sur la bonne voie, qu’ils soient traités de schizophrènes ou de psychopathes sociaux, pourvu qu’il dépeignent la réalité telle qu’elle est, sans idéalisation, et qu’ils défendent de bonnes causes en dénonçant la CORRUPTION, L ABUS de POVOIR et L’INJUSTICE SOCIALE, cet axe du mal qui bloque l’axès à toute démocratie.

Rien n’est plus beau  que de voir des articles sisciter des réactions positives avant qu’ils ne soient couronnés par des commentaires constructifs, émanant de lecteurs bien intentionnés.

Ains, Oujdacity est devenue au fil du temps ue école sous la bnnière de laquele se rangent des écrivains « chevronnés », éclairés; autrement dit, des cracks de la region, du pays et de par le monde. des porte-parole qui représentent le peuple et la nation mieux que n’importe qui, puisque, c’est grace à eux que les choses bougent ici et ailleurs et ce sont eux qui font la gloire et la célébrité du journal, à coté du personnel du site. Ne méritent-ils pas un Prix Nobel donc?