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Encore des efforts à faire M. le Ministre…

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Ce qui est à la fois étrange et incompréhensible, c’est que ce qui suit arrive vers la fin du mandat du gouvernement et au moment où était nommé un ministre des Libertés.

Cinq ans après sa nommination, le gouvernement n’a pas fait de progrès considérables en terme de protéction des libertés fondamentales et individuelles, ni sur le plan de la lutte contre l’injustice sociale et l’inégalité des chances non plus. En effet, les Libertés que protègent toutes les constitutions démocratiques et que des révolutions et des générations ont mis des siècles à instaurer sont, du jour au lendemain, gachées et sabotées à cause de l’abus de pouvoir, par des fanatiques religieux, par les détracteurs de la modernité ou par des psychopathes sociaux. En plus, le fait que quiconque soit exposé à toutes sortes d’agression ou qu’il soit trainé devant les tribunaux pour avoir opté pour une façon de s’exprimer, de s’habiller, de croire, … est un acte condamnable partout dans le monde, sauf dans les pays aux régimes totalitaires. L’incident d’inzgane et celui de Fès éclaircirent  fidèlement ce qui est avancé. Ceci étant dit, il reste encore du chemin à faire pour que la justice puisse accomplir toutes ses fonctions et ses engagements; dès lors qu’elle ne saurait garantir ces Libértés.

D’autre part, tant que le principe:  » Comment s’est-on procuré ceci?  »  » mine ayna laka hada? n’est pas mis en pratique et que la corruption n’est pas éradiquée, les inégalités et les discrimnations persistent, et, la justice sociale et la démocratie sociale ne verront jamais le jour. Sachant que les voleurs au non de la loi, les fraudeurs ainsi que les trafiquants continuent de s’enrichir, en exerçant leur sales besognes, en investissant leur argent  » maudit  » dans différents domaines ou en se lançant dans une course enragée aux postes clés, et ce pour etre à l’abri des poursuites judiciaires. Ainsi, le fossé entre bourgeois et pauvres se creusent davantage.

Donc, le système judiciaire, qui est censé surveiller et garntir l’Etat de droit, devrait etre revu mais surtout refait selon lévolution des sociétés modernes et selon les conventions internationales en vigueur.

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