Les études universitaires : quel parcours choisir ?
Le système éducatif au Maroc a connu depuis quelques années des changements divers dans différents domaines et dans chaque niveau d’études. Cependant ces changements qui sont considérés comme une meilleure approche pour une éducation réussie peuvent aussi être la cause d’un échec sans remède.
L’orientation universitaire est considérée depuis longtemps une démarche primordiale qui constitue le pilier de base pour un cursus universitaire réussi. L’étudiant s’engage alors après son baccalauréat dans un parcours qui complète évidemment ces études secondaires et qui répond aussi à ces principaux intérêts. Cependant ce parcours choisi ne joue pas toujours à la faveur de l’étudiant, qui n’a qu’un seul souhait, qui est celui de pouvoir mettre en pratique ces savoirs et ses savoirs faire après ces cinq années de formation. En effet, l’étudiant est parfois amené à changer de branche et de poursuivre des formations spécialisées ou professionnelles. Certes ces formations sont complémentaires et permettent à l’étudiant d’avoir un diplôme polyvalent et riche de compétences, mais cette richesse se trouve devant une porte sans clé, un avenir confus, une réalité qui l’affronte à chaque fois qu’il frappe la porte d’une société ou d’une administration publique ou privée.
Personne ne veut de ces formations, pour les responsables, c’est plus bénéfique pour eux d’embaucher un cadre de formation complète que d’embaucher un cadre qui a eu un DEUG, une licence professionnelle et un master spécialisé. Même si les formations sont complémentaires, cela ne les convainc pas. Pour eux un cadre de formation complète est plus compétent que celui qui a eu une formation diversifiée.
Ce nouveau système universitaire peut il alors être considéré comme une stratégie réussie ou au contraire cela n’a qu’augmenter le taux de chômage chez les jeunes chercheurs d’emploi hâtes de trouver un emploi qui réponds à leurs compétences.
2 Comments
les deux dégringolé, ou plutôt tous les quatre, pour prendre une allure asymptotique, le premier comme vous l’avez souligner en raison de tout ce remue-ménage qu’ a subit depuis l’indépendance( lire mon article en deux parties, celui de L’ECOLE MAROCAINE RETROSPECTIVE DEPUIS L’INDEPENDANCE sur ce site), mais tous les deux du fait aussi qu’il soient liés à un système socioéconomique global délabré, sujet que j’entamerai prochainement.
Je m’excuse d’attirer votre arrentions sur le contenu de l’avant dernier paragraphe, il faudrait le revoir un peu pour le clarifier d’avantage au lecteur. Je vous remercie et vous souhaite mes vœux les meilleurs à l’occasion du nouvel an.
Mon précèdent commentaire s’avère incomplet, il a été découpé ( ?!) ? JE VOUS PRIE DE LE SUPPRIMER ET DE LE REMPLACER PAR CELUI-CI :
Bonjour FATINE .
je vous salue pour les motivations qui vous poussent à soulever ce genre de problèmes relatifs à l’enseignement et à l’emploi car ce sont deux secteurs qui vont et qui doivent aller de pair certes, ce sont les deux principaux piliers à côté de la justice et la santé pour l’essor de toute nation , ils ont tous les deux dégringolé, ou plutôt tous les quatre, pour prendre une allure asymptotique, le premier comme vous l’avez souligner en raison de tout ce remue-ménage qu’il a subit depuis l’indépendance( lire mon article en deux parties, celui de L’ECOLE MAROCAINE RETROSPECTIVE DEPUIS L’INDEPENDANCE sur ce site), mais tous les deux du fait aussi qu’il soient liés à un système socioéconomique global délabré, sujet que je vais essayer d’entamer prochainement.
Je m’excuse d’attirer votre arrentions sur le contenu de l’avant dernier paragraphe, il faudrait le revoir un peu pour le clarifier d’avantage au lecteur. Je vous remercie et vous souhaite mes vœux les meilleurs à l’occasion du nouvel an.