IFO- OUJDA: LE SORT DE JERADA APRES LA FERMETURE DE LA MINE?
C’est sur ce thème , que nous voudrions être éclairé par l’écrivain et traducteur ALI TIZILKAD, lors de la rencontre organisée samedi 2 octobre par l’ institut français de l’ oriental(IFO) d’ Oujda.
Natif de Jerada où il a passé son enfance et ses premiers pas scolaires, l’écrivain a parlé de son parcours, sa relation avec l’écriture et la littérature,ainsi que son attachement à sa ville natale à laquelle il a consacré nombre d’ écrits,notamment sur le thème de la mémoire de la mine.
Pour ALI TIZILKAD, si la vocation de Jerada n’ est plus minière ;elle bénéficiera quand même de la dynamique de développement et de mise à niveau sur laquelle surfe toute la région de l’oriental.
Néanmoins, il faudra miser sur le facteur humain qui est à la base de tout décollage économique et ce, par l’éducation et la formation dont les budgets alloués sont de plus en plus consistants.
Par ailleurs, le débat était d’abord littéraire surtout que l’assistance était composée d’hommes et femmes de lettres, universitaires et professeurs.
ALI TIZILKAD est enseignant, traducteur ( Abdellatf Laabi et Jean Genet), mais aussi journalistes et écrivains . En journalisme, il a dirigé des rédactions pour le compte de l’agence marocaine de presse. La MAP, bureau de Paris , ainsi que des rédactions de magazines ( Citadine et Médina) et du quotidien marocain francophone – aujourd’hui le Maroc – A ce titre . il a également assuré des fonctions de consultant et d’expert en médias, notamment auprès de la haute autorité de la HACA.
Au fait, l’IFO excelle dans l’organisation de telles manifestations culturelles et littéraires et dans le parrainage de la culture francophone dans la région et notamment à Oujda.
Aucun commentaire