Il m’est très agréable, chères lectrices et chers lecteurs, de livrer la suite de mon article paru sur le site le 02 de ce mois, toujours à cœur ouvert, en me vouant à mes désirs et en me cédant au plaisir que peut me procurer la plume.

Je souhaiterais donc, comme vous d’ailleurs chers lecteurs(trices) et auteurs qui maniez efficacement et délicatement vos plumes et puisez dans vos grandes et  profondes connaissances pour produire des « choses » sublimes après les avoir sans doute bien modelées, corrigées, fignolées pour une  fine et dernière mouture pour que vos écrits soient lus et assimilés par nos enfants, pour qu’ils puissent bien mûrir , se faire vacciner contre l’ignorance  afin d’éviter de découvrir l’univers de la délinquance  au lieu de celui que la bonne éducation , à empêcher les vieilles générations de l’ancienne école bâtie et fréquentée durant la belle époque de découvrir et qui a  permis à la majorité de remuer son esprit , d’utiliser impeccablement sa plume pour communiquer dans le but de faire parvenir efficacement le message, dans tout cet univers diversifié.

Dans cet espace où  sont éjectés en orbite un bon nombre parmi les jeunes apprenants des classes élémentaires au lieu de bien veiller à les  guider et qui s’attendent à être préparés, parmi les grands acteurs de la vie quotidienne, en passant par certains parents qui ont complètement délaissé les leurs (j’ai peur de dire ignoré) inconsciemment dans leurs milieux stériles, par les citoyens moyens, ces individus où peuvent certainement figurer aussi bien l’analphabète que le démuni, ces deux victimes de l’ignorance, les faux « boujadis » ( j’emprunte ce dernier qualificatif à Mr Zaid)

Comme tout le monde le sait, ce sont nous les (H)ommes qui construisons l’(H)istoire quelles que soient les circonstances et les conditions, sans par ailleurs qu’on n’ait le choix. Je me permets d’emprunter au célèbre philosophe grecque, ARISTOTE,  un de ses  concepts que les adultes instruits sont sensés connaître, pour l’adapter aux miens et à mon fantasme, du moins dans ce contexte pour faire plaisir aux littéraires, sans pour autant contrarier les scientifiques, dans le  but de transmettre parfaitement le message pour dire que l’Histoire, comme la nature, a aussi horreur du vide, et que le physicien, mathématicien,….,et philosophe, B.PASCAL a du faire bien avant moi pour mettre en œuvre et confirmer ses analyses  expérimentales auxquelles TERROCELLI n’avait pu aboutir pour mettre en épreuve cette théorie ; en d’autres termes , elle ( l’Histoire) ne peut absolument en aucun cas ou circonstances nier ou effacer ou oublier ou encore déformer la vérité.

L’actuelle progéniture et/ou celle d’après  tombera un jour sur nos écrits qui feront l’objet de nos traces et de témoignages, qu’elle va certainement lire, analyser, méditer et en tirer des conclusions pour  nous juger. Elle pourra aller jusqu’à nous condamner s’il le faut, vivants ou morts. Ces futures générations  ne seront pas disposées à nous pardonner s’il s’avère que nous avons été coupables, elles dresseront un véritable réquisitoire qu’elles sanctionneront par un verdict sans appel, auquel il ne faut pas s’attendre à ce qu’il sera en notre faveur.

Ce sont elles (les générations futures) qui vont nous succéder et reprendre le flambeau pour assurer la relève. Espérons, à ce propos, une continuité saine qui améliorera leur bien-être,  leur permettra d’échapper aussi bien à la misère qu’à l’ignorance et préservera leur dignité.

En tant que citoyens conscients parfaitement de notre univers, nous luttons à l’ombre et obstinément contre ce monstre qui n’est autre que l’ignorance, et sachons bien que l’ignorance n’a jamais servi personne.

Nous avons hérité ce combat perpétuel de nos prédécesseurs à l’aide de ce vieux moyen où se confondent art et arme, qui  a  été et reste éternellement beau et sophistiqué et qui n’est  autre que la plume. Grâce à notre inspiration, elle nous permet de traduire nos concepts dans la pensée, nos sentiments dans la poésie, notre imagination dans le romantisme. Nous devons la saisir et l’exploiter pour continuer à avoir la possibilité  de la manipuler avec plaisir, prudence et intérêt pour mener clairement de parfaits débats ; ce qui nous permet de nous faciliter et au lecteur de procéder, d’une part à un diagnostic des phénomènes en les cernant dans un cadre qui leur est approprié, et d’autre part en leur cherchant les causes pour finalement en trouver des remèdes ; le tout  dans le but de servir autrui, le satisfaire et au final faire aboutir nos vrais rêves, du moins ceux qui sont réalisables.

Dans des écrits publiés et puisés sur ce site où vous détecteriez certains articles bien construits et bien finis, rédigés dans notre langue ou dans l’autre, leurs auteurs traitent souvent de divers sujets d’actualité, objet de préoccupations du citoyen moyen . On éprouve  du plaisir à lire ces articles et des fois à les relire pour se sentir satisfait et rassasié. Ils sont comparés à des recettes bien épicées, saupoudrées, préparées avec  goût, présentées avec soin et servis avec  et délicatesse. On finit par les savourer pour satisfaire sa gourmandise et apaiser son appétit aussi bien par L’HAMDOU LILLAH que par une courtoisie faite à celle qu’on aime et qu’on respecte qui peut être l’épouse, la mère ou la sœur, ou encore à la maîtresse de maison, considérée et appelée affectivement DADA par les petits, sinon tirer chapeau à leurs maîtres de  gastronomie.

De ces conseils et profit indiqués en première partie de mon article, ce jardin dont sa baptisassions fut inspirée de sa ville et eut lieu à l’anglaise, dont la maturité n’a pas encore atteint son terme en a drôlement besoin. Il  devrait être immunisé pour ne pas être infecté par des virulences,  être vacciné contre les arrogances pour ne pas être contaminé et  à ne pas inciter à des évasions des grands calibres de l’écriture dans notre langue ou dans l’autre, auquel il faudrait prêter plus d’attention. Il est précieux mais fragile,  il mériterait beaucoup plus de soins et  de respect dans le but de ne pas dénaturer la voix de la  noble mission qu’il devait entreprendre. Il m’a permis de me faire inviter en me souhaitant la bienvenue, de le saluer et de sentir son parfum sans me laisser le plaisir de faire répandre le mien. M’incite-t – il à lui annoncer mon départ et lui dire : ADIEU L’AMI ?

Cultivez – le donc avec maturité et professionnalisme pour qu’il soit un BEAU jardin !

Avant de conclure, il faut bien se rappeler qu’UNE  PLUME BIEN AIGUISEE DEVRAIT PRODUIRE UNE BELLE ECRITURE QUI VOUS PERMET DE VOUS SATISFAIRE. QUANT A SA SOUPLESSE, ELLE EXPRIMERAIT DE L’ART ET DU RESPECT DANS L’EXPRESSION.

Je me permettrais enfin et aussi de dire à mon tour que j’ exhume mon plaisir lorsque je me mets à écrire en sillonnant  les grands et vastes espaces de mes nuits, paisiblement sous la luminosité de ma lampe, l’éspris éclairé par les rayons de « sa lune », dominé par mes extraordinaires sensations, et accompagné de ma modeste plume. Tout  comme celui qui, amplement, accompagne sa cavalière dans une valse sans fin, parmi tous ces couples qui s’accommodent avec les différents mouvements rythmés de l’extraordinaire musique , en se procurant convenablement de l’espace, en essayant de ne pas faire de faux pas, sans être bousculé, au rythme d’un orchestre dirigé par leur maestro, le maîtrisant dans sa baguette magique pour synchroniser tous ces beau morceaux, en s’enivrant à être emporté par des partitions traduisant un son  musical limpide et raffiné, en semant la joie et l’amour dont la satisfaction ne peut que répondre à son plaisir.

Et en souvenir  des valses de(s) Johann STRAUSS, je vous invite à écouter, à regarder puisque                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       vous en avez la possibilité, celle que nous  offre gratuitement cette haute technologie moderne et nous permet  de communiquer qui est aussi au service de la musique classique, et savourer avant de dormir  » le Beau Danube bleu « , la plus célèbre de ses œuvres, qui , pour moi et sans doute pour les dégustateurs de la Grande Musique, est la plus belle que vous trouviez dans un beau bouquet de différentes couleurs intitulé : LES ROSES DU SUD, interprétées par ANDRE RIEU. Aux étrangers de cet art, je les invite à avoir l’envie et la volonté de découvrir « le plaisir de cette musique », pour y trouver goût avec une longue et grande patience, car le goût s’éduque. Quant aux  sympathisants comme moi, ils vivront des moments d’ébullition. En passant, en musique classique, Les QUATRE SAISONS de VIVALDI ne font pas défaut, elles ne font qu’enivrer.

Enivrez- vous donc de musique aussi.

« Pour ne pas sentir
l’horrible fardeau du Temps
qui brise vos épaules
et vous penche vers la terre,
il faut vous enivrer sans trêve ». CH. BAUDELAIRE

S’enivrer particulièrement de musique pour se distraire, quand l’opportunité nous est gratuitement offerte, n’a jamais tué personne. Bonne nuit si vous me lisez avant de dormir.