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REFLETS ET METAPHORES D’UN ARTICLE *

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REFLETS  ET METAPHORES  D’UN  ARTICLE *

Après avoir lu avec beaucoup d’intérêt l’article  paru le  18 de ce mois de mars, un mois « beau » pluvieux – rendons grâce à Dieu, le tout puissant -, qui a réanimé aussi bien les terres par ses intenses pluies dans presque tous les points du pays en leur rendant leur splendide verdure que les cœurs des gens par sa fraîcheur et l’espoir d’ une bonne récolte, j’ai pensé qu’un simple commentaire ou une petite « réaction » ne suffiraient pas à rendre hommage au génie de l’analyse de l’auteur. Une simple lecture de cet article ne  suffit pas, un article lu entre les lignes.
Que l’auteur me permette d’être au moins ici son assistant.
Je ne ressentirais que du bonheur de vouloir faire le prof  devant les respectueux « GRANDS  et VIEUX MAITRES », même si je ne lui suis pas ; et si j’ai raté ma vocation, tant pis, c’est bien dommage, j’aurais pu l’être, mais toujours est-il que je ne regrette rien, comme « disait » et le chantait EDITE PIAFF, cette célèbre  chanteuse. J’aurais aussi à  combler avec plaisir un petit vide.
Je me permettrais tout de même d’insister et d’appuyer ce qui a été dit  en m’adressant à travers cette modeste synthèse aux jeunes apprenants  qui attendent à la continuité de la piste pour  reprendre le flambeau et améliorer les performances du parcours de cette GRANDE LUTTE  pour ne pas dire course.

DES POINTS CHAUDS :
Avant de le faire ( lui répondre) disais-je,  il faudrait, à mon avis, assimiler ses (et ces) messages avec grande perception et grand intérêt, en prêtant attention à tous les points soulevés, en explicitant les trois et « uniques » scénarios présentés, à travers les articles publiés, allant de l’information ordinaire jusqu’au développement des thèmes socio- politiquo-culturels, ou de la simple réflexion jusqu’aux raisonnements dialectiques, ceci d’une part ; d’autre part,  des différents commentaires rédigés sous des aspects de  toutes formes  allant d’un bref et simple point de vue de nature quelconque jusqu’à une opinion synthétique confirmant ou pas les idées de l’auteur de la part de ceux reflétant des bassesses allant de  l’infime irrégularité, jusqu’à une flagrante et visible insolence, voire une  insulte.
On ne peut que répondre par un « SALUT DE CŒUR » et avoir la réaction logique de lui affirmer que tous les points de vue exprimés sont vivement corrects et traduisent la réalité. C’est  ce que l’auteur a eu raison d’aborder dans son fabuleux texte, celui sous vos yeux, est considéré comme UN DISCOURS REVELATEUR D’UN ARTICLE
EN CONCLUSION :
Dans son texte formulé avec ingéniosité et de manière didactique, l’auteur a fait d’un certain nombre de messages ciblés un assemblage sous forme d’une   construction  analytique et traduite par un  discours dialectique caractérisé par des nuances. Ses pensées sont aussi bien « aimantantes » qu’éminentes. Elles procurent  au final aux jeunes apprenants l’envie de s’initier, ce qui leur permettrait de partir à point ; aux  personnes  en âge de raison la faculté d’apprécier et consolider leur savoir ; enfin  aux « vrais boujadis » de réfléchir pour  se restituer et progresser.
Quelques-uns oseraient me dire que je ne cesse de tourner autour du pot ! je l’accepterais…toutefois en répondant qu’il faudrait guérir ce mal et cette manie maladive de « jacasser » et l’extirper à sa racine.
L’analyse de l’auteur  a été « avertissante » et « remédiante » pour les uns et  séduisante pour d’autres. Quant à moi, elle m’a bousculé.

MES SENTIMENTS :
En contre- partie de son audace dans la franchise et de l’effort fourni avec l’espoir que les volets traités par ses soins soient rentablement investis, je ne trouve point les mots justes et suffisants pour exprimer mes compliments à l’auteur. Ce manque de mots justes provient du fait que je suis à moitié campagnard et à moitié citadin. Ainsi, je dirais que je ne sais sur quel pied dois-je danser. Mais ici, le premier aspect de mon caractère (ou mentalité) l’emporte sur le deuxième. Donc je ne pourrais m’exprimer à l’égard de l’auteur et à l’égard de ce qu’il a traduit dans son  écrit – par lequel il s’est prononcé à travers un langage aussi fort qu’ intelligent et d’une façon aussi exclusive  que commune- , que par un GRAND SALUT que je lui transmets  en le traduisant en TABRIHA faite après une « bartya » (danse) présentée par un « mebly »,  que j’emprunte à un crieur appelé HMEDH-N’GUELGA que DIEU ait son âme , ce célèbre BARRAH des CHYOUKHS des BENIS BOUZEGGOU (que DIEU les bénisse).
Pour éviter de me tromper ou faire de faux pas, de cette prose  folklorique souvent improvisée des années soixante où mon adolescente rose s’ouvrait avant de répandre son parfum, je vous laisse vous distraire un peu pour sortir de l’ordinaire en vous  adressant ce qui était commun en vous disant:
FI- KHAA…A…ATR – LAKHOUAT’R, OU- FI- KHATREK – A MOULAY!!!
MOULAY – ASSALTANE, SALTANE – SABAA-YAM, ALLAH – IZIDNA OUZIDOU – FI – LIYAM !
OU- FIKHATER- LES LECTEURS : MEN- WALI –L’WALI- OU- MAFIHOUM-TALI(dernier) HATTAL-MOULA-AABDEKADER-JILALI !
OU- FIKHATER – LLI- IYHABBOU- l’KHAT’R ; WALLY- MA-IYHABBOUCHI- L’KHAT’R !?, KHAA…ATI (exclu) !…
HADI- HADIYA -WA –KRAMA- L’MOUL-L’FARH (le site) , OU- LEL’QORRAA‘E, OU-RABBY- YAKHLEF !
OU – FI- KHATER- ZZAGRATATAT-ILA-ILA-YGAADOU- L’MIL-OU- IYZAGHRTOU-AALIH !
Excusez- moi cheres lectrices ! des fois le plaisir m’emporte…
Que les gens de l’oriental (et particulièrement ceux d’origine campagnarde) me comprennent bien! Et que les autres ne sentent pas un vide dans la perception des choses, car le sentiment comme le « respect », s’éduque !
OH MON DIEU ! Je n’en reviens pas… durant la fleur de mon âge, en toute modestie , j’étais un professionnel, je dis bien un professionnel de cette splendide et magnifique danse appelée « liyaalaoui ».
Que mes vieux camarades de ma génération, s’ils me lisent, s’en souviennent!
Cet art folklorique qui excitait les « phallocrates » ! et qui mettait les « femelles » en ébullition ! Un art aussi enivrant que j’ai pu libérer de mon milieu populaire pour le planter dans les cœurs des internes du lycée de mon temps en osant le transposer par la suite dans le milieu universitaire de RABAT où des marrakchis ont  pu s’y (et s’en) initier.
UNE GRANDE  REJOUISSANCE :
Cette extase et cette ébullition provenant de ces souvenirs lointains m’amènent à m’adresser à ceux qui se reconnaîtront par leur jacasserie pour leur dire comme c’est succulent quand la joie vient après la peine !
En  leur rappelant un joli poème que les jeunes savoureront, dont voici des extraits :
 » Ô temps ! Suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
….
 » Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
….
 » Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m’échappe et fuit ;
….
 » Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
….
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
….
Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
….
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
C’est de De LAMARTINE, que je vous invite encore une fois ceux qui se reconnaîtront à lire pour  vous enivrer un peu au bord de son LAC.
Je finis en levant le suspense et dire que j’ai parlé de l’article intitulé «  oujda city, ce que j’en pense, 2. Le portail au quotidien.

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