La déclaration perfide d’Angela Merkel, la Chancelière allemande,  destinée à  l’ensemble de la communauté arabe de l’Atlantique au Golfe Arabique a ouvert une profonde plaie dans nos cœurs meurtris ‘’Nous allons apprendre à nos enfants, a-t-elle dit en substance, que des réfugiés syriens, arabes musulmans, sont venus chez nous, terre chrétienne  de paix et d’accueil, fuyant la persécution et la guerre alors que la Mecque est tout près de chez-eux, comme leurs ancêtres musulmans arabes sont allés se réfugier en Ethiopie, terre chrétienne de paix et d’accueil’’. Ainsi s’est exprimée la chancelière allemande à propos des réfugiés syriens qui ont envahi l’Europe au moyen d’embarcations de fortune dont beaucoup ont coulé en méditerranée engloutissant avec elles leur cargaison humaine.  Cette femme qui semblait très touchée par le corps d’un petit enfant syrien de trois ans que la mer a rejeté sur ses rives, cadavre sans âme a laissé couler quelques larmes devant les caméras des médias à grandes sensations. La chancelière allemande donne l’impression qu’elle est sensible au malheur humain qui a frappé les Syriens qui ont pris d’assaut les pays d’Europe, fuyant la guerre qui déchire leur pays. Cette sensibilité est-elle réelle ou feinte ? Sincère ou hypocrite ? Venue du fond du cœur ou des bouts des lèvres ? Une chose évidente que la sensibilité de cette femme au cœur si généreux ne montre pas est que le pays que cette femme dirige et qui gravite dans la sphère d’autres pays européens qui forment une coalition économique et militaire mange avec le loup et pleure avec le berger, comme on dit dans une langue qui lui est étrangère et qui sait si bien parler de l’hypocrisie occidentale.

Apprenez à vos enfants, madame la Chancelière, que des Syriens, arabes musulmans, sont venus dans votre pays, terre chrétienne de paix et d’accueil, fuyant la persécution et la guerre alors que la Mecque est tout près de chez-eux, comme leurs ancêtres musulmans arabes sont allés se réfugier en Ethiopie, terre chrétienne de paix et d’accueil, et nous apprendrons à nos enfants  ce qui suit:’’

Les Afghans, les Irakiens, les Palestiniens et  bien avant eux des pays africains et tout dernièrement les Syriens sont des nations victimes des pays chrétiens qui dominent le monde comme les Etats Unis, l’Angleterre, la France auxquels s’est récemment jointe la Russie. Ces pays, soutenus par d’autres comme l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne et l’Australie sont la cause du malheur des pays que je viens de nommer et d’autres qui souffrent dans l’indifférence de la communauté internationale comme le Mali, le Congo et d’autres pays d’Afrique encore sous le joug du colonialisme,

Les Afghans, les Irakiens, les Palestiniens et  bien avant eux des pays africains et tout dernièrement les Syriens sont des nations victimes des pays chrétiens qui dominent le monde comme les Etats Unis, l’Angleterre, la France auxquels s’est récemment jointe la Russie. Ces pays, soutenus par d’autres comme l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne et l’Australie sont la cause du malheur des pays que je viens de nommer et d’autres qui souffrent dans l’indifférence de la communauté internationale comme le Mali, le Congo et d’autres pays d’Afrique encore sous le joug du colonialisme,

dont les habitants vivaient dans leurs pays dans un peu de paix marinée dans un peu de misère qui leur seyait si bien tellement ils se contentaient de si peu sans jamais se plaindre de leur sort qui était scellé à la terre et au bétail. Ils s’en remettaient tantôt au destin tantôt à leur étoile, bonne et mauvaise, tantôt au sage ou au sorcier du village, tantôt à Dieu. Mais ils étaient heureux, à leur manière, du bonheur des modestes et des simples d’esprit, jusqu’au jour où ils virent débarquer chez eux des hommes à la peau blanche, et ils crurent que leur cœur était de la pureté de leur peau. Mais à leur grande surprise, les hommes à la peau blanche, venus de si loin, après avoir longtemps vogué sur des océans et des mers, se mirent à pourchasser les hommes à la peau noire, chez-eux, dans leurs huttes et leurs cabanes, à travers steppe et savane, dans les montagnes et les grottes des montagnes où ils crurent être à l’abri. Ils finirent pourtant par les retrouver partout où ils s’étaient terrés, leur passèrent les carcans autour des cous et les chaînes aux poignets et aux pieds, puis ils les embarquèrent dans des voiliers qui prirent le sinistre nom de négriers et ils les envoyèrent galérer, êtres sans âmes, dans les champs des hommes à la peau blanche, loin, bien loin des  steppes, des montagnes et des rivages d’Afrique. Ils les vendirent comme une vulgaire marchandise. C’est la déportation la plus triste, la plus atroce et la plus malheureuse de toute l’histoire de l’homme inférieur à cause de la couleur de sa peau par  l’homme supérieur grâce à la couleur de sa peau. La chasse à l’homme noir par l’homme blanc dura pendant longtemps, très longtemps, à tel point que l’Afrique  se fut dépeuplée de ses étalons aux bustes et aux mollets si bien galbés. Il n’en restait plus en Afrique que les femmes, les enfants et les vieillards. Pendant longtemps, les montagnes et les vallées de l’Afrique se renvoyaient  les échos des lamentations des femmes laissées sans maris, des jeunes filles sans fiancées, des mères sans enfants et des enfants sans pères. Les jeunes et belles filles à la gorge ferme et à la stature de léopard, faute de mieux et en l’absence des jeunes étalons du village qui faisaient chavirer les cœurs des jeunes fougueuses qui les épiaient du coin de l’œil au seuil des  huttes, durent consentir à prendre pour époux des vieillards à la face rongée et aux yeux laiteux. Beaucoup de temps s’coula ainsi, et l’Afrique retrouva son équilibre et les jeunes filles prirent de jeunes étalons à la peau luisante et la vie reprit son train avec quelques générations en moins. Ainsi donc, les pays d’Europe et d’Amérique contribuèrent-ils à vider l’Afrique de ses hommes les plus forts et les plus viriles pour en faire des esclaves dans les plantations de cane à sucre, de coton et de tabac des pays d’Amérique.

C’est la déportation la plus triste, la plus atroce et la plus malheureuse de toute l’histoire de l’homme inférieur à cause de la couleur de sa peau par  l’homme supérieur grâce à la couleur de sa peau. La chasse à l’homme noir par l’homme blanc dura pendant longtemps, très longtemps, à tel point que l’Afrique  se fut dépeuplée de ses étalons aux bustes et aux mollets si bien galbés

Ceux-là, madame la Chancelière, à l’inverse de ceux dont vous avez dit que vous alliez raconter l’histoire à vos enfants n’ont pas quitté leurs pays  pour venir dans les vôtres rechercher la paix et la prospérité mais expatriés pour être vos esclaves, vos valets et vos serviteurs.

Puis, les hommes noirs virent débarquer chez eux d’autres hommes blancs, tout de blanc vêtus, portant au cou une croix et à la main un gros livre. Ils les prirent pour des anges et leur offrirent l’hospitalité due aux étrangers, telle que la leur enseigne la coutume en usage dans leurs pays. Les hommes blancs parlaient d’un dieu qui a envoyé son fils sur terre pour sauver l’humanité de la perversion dans laquelle elle est tombée, mais les hommes de son époque le crucifièrent vivant. Et les hommes tout de blanc vêtus montrèrent à leurs hôtes noirs tout émus la croix qu’ils portaient autour du coup. Aussi leur offrirent-ils une cabane pour y gîter le temps d’une nuitée ou de deux mais les hommes blancs restèrent des nuits, des semaines, des mois et des années. D’autres hommes blancs, appelés par les hommes à la croix et au livre, débarquèrent sur le continent, avec des fusils et des canons. Les premiers leur offrirent la croix et le livre, les seconds leur prirent leurs terres encore à l’état vierge, en ayant pris soin de tuer ceux qui s’y opposaient. Ainsi les petits enfants dont les ancêtres  ont été déportés pour aller servir d’esclaves dans les pays de l’homme blanc se trouvent également réduits à l’esclavage par l’homme blanc dans leurs propres pays. L’histoire se répète, nous ont dit les premiers.

Ceux-là, madame la Chancelière, à l’inverse de ceux dont vous avez dit que vous alliez raconter l’histoire à vos enfants n’ont pas quitté leurs pays  pour venir dans les vôtres rechercher la paix et la prospérité mais réduits à être vos esclaves, vos valets et vos serviteurs dans leurs propres pays.

 Ainsi donc, les pays d’Europe et d’Amérique contribuèrent-ils à vider l’Afrique de ses hommes les plus forts et les plus viriles pour en faire des esclaves dans les plantations de cane à sucre, de coton et de tabac des pays d’Amérique.

Puis les pays d’Europe et les Etats Unis, unis sous la bannière du Père, du Fils et du Saint Esprit et sous l’égide  desquels  ils forment leur coalition, eurent l’idée satanique de subtiliser à un peuple tout entier sa patrie pour l’offrir à un peuple vagabond, pour soi disant se déculpabiliser des souffrances dont il a été victime des suites de ce qui a pris le sinistre nom d’holocauste dont ils nous ont fait admettre l’existence sous peine de sanction.  Ils ont greffé sur le peuple palestinien les germes de la gale et leur recommandent de ne pas se gratter. D’un côté, ils arment, défendent, soutiennent les Israéliens qu’ils ont fait venir en terre de Palestine, de l’autre ils traitent de terroristes ceux qui se battent pour récupérer ce qu’il leur a été pris par la force de l’injustice, de l’imposture et de la tyrannie.

Ceux-là, madame la Chancelière, à l’inverse de ceux dont vous avez dit que vous alliez raconter l’histoire à vos enfants n’ont pas quitté leurs pays  pour venir dans les vôtres rechercher la paix et la prospérité mais chassés de leur propre pays à cause de votre pays, de ceux de l’Europe et d’Amérique pour aller vivre par milliers et par millions en réfugiés éternels dans les pays voisins.

Puis, une profonde rage souterraine, la même que celle qui avait animé les ignobles actes des pays d’Europe  dont les livres d’histoire parlent avec honte s’est emparée de ces pays qui se sont retournés contre eux comme des loups affamés. Pendant une cinquante d’années ils se sont livré des guerres fratricides dont l’histoire de l’humanité n’a jamais connu la barbarie et la sauvagerie avec lesquelles ils se sont massacrés. Et les historiens de ces pays ont eux-mêmes fait le macabre décompte des morts ces boucheries qui se lisent dans les livres d’histoire et qui informant sur la nature de ces pays à la religion chrétienne.

Ceux-là, madame la Chancelière, à l’inverse de ceux dont vous avez dit que vous alliez raconter l’histoire à vos enfants sont les parents et les grands parents de chez vous qui se sont massacrés comme de vulgaires Larrons sur le chemin d’un bois. Vous allez raconter cela à vos enfants ou bien ils le savent pour l’avoir déjà lu dans les livres d’histoire avec beaucoup de honte et de gêne.

Puis, l’esprit nuisible et destructeur des pays d’Europe, et leurs alliés les Etats Unis dont l’histoire retiendra le nom de deux villes rayées de la carte de la géographie, se sont coalisés, comme toujours d’ailleurs, pour attaquer d’autres pays du Moyen Orient sous prétexte que ceux-ci produisent des armes de destruction massive ou abritent des terroristes ou servent de bases arrières au terrorisme, comme ils disent pour justifier leurs abominables actes

Puis, l’esprit nuisible et destructeur des pays d’Europe, et leurs alliés les Etats Unis dont l’histoire retiendra le nom de deux villes rayées de la carte de la géographie, se sont coalisés, comme toujours d’ailleurs, pour attaquer d’autres pays du Moyen Orient sous prétexte que ceux-ci produisent des armes de destruction massive ou abritent des terroristes ou servent de bases arrières au terrorisme, comme ils disent pour justifier leurs abominables actes contre des pays dont le seul tort est qu’ils ne peuvent pas faire face à des pays surarmés, surpuissants et habitués à des pratiques odieuses similaires. Les pays d’Europe et des Etats Unis ont conduit à la ruine les pays qu’ils ont attaqués et attaquent toujours et dont beaucoup de leurs citoyens ont quitté leurs pays pour aller trouver refuge dans les pays de leurs bourreaux qui les ont accueillis comme s’ils avaient été les victimes des dirigeants de leurs propres pays. Qui n’a pas vu sur les chaînes à grandes sensations ces colonnes d’êtres humains déguenillés et pitoyables, portant sur leurs épaules leurs enfants en bas âge ou leurs effets personnels, suivis par les femmes et les vieillards, poussés par-ci, bousculés ou matraqués par-là, le regard vide, hagards,  méprisables et honteux  comme ils sont non comme ils étaient, espérant trouver un lieu plus sûr où poser leurs fardeaux et leur peine, ne sachant pas dans la précipitation de la ruée qui les a  soudain prise qu’ils avaient emprunté le mauvais chemin comme les lièvres que la huée des batteurs poussent vers le chasseur.

Qui a fait sortir ces paisibles gens de chez eux pour venir se réfugier chez-vous, madame la Chancelière ? Ne sont-ce pas les pays d’Europe et les Etats Unis d’Amérique ? L’Afghanistan, l’Irak, la Syrie, la Palestine pour ne citer que ces pays-là, qu’en ont fait les pays CHRETIENS d’Europe et des Etats Unis, madame la Chancelière ?

   Pour conclure, vous apprendrez à vos enfants votre histoire et nous apprendrons à nos enfants la nôtre, madame la Chancelière.’’

C’est sans doute ceux-là, madame la Chancelière, dont vous parlez avec un peu d’orgueil et beaucoup de vanité et de perfidie dont vous avez si sinistrement dit : ‘’Nous allons apprendre à nos enfants que des réfugiés musulmans arabes syriens sont venus chez nous, terre chrétienne  de paix et d’accueil, fuyant la persécution et la guerre alors que la Mecque est tout près de chez-eux, comme leurs ancêtres musulmans arabes sont allés se réfugier en Ethiopie, terre chrétienne de paix et d’accueil’’.  Qui a fait sortir ces paisibles gens de chez eux pour venir se réfugier chez-vous, madame la Chancelière ? Ne sont-ce pas les pays d’Europe et les Etats Unis d’Amérique ? L’Afghanistan, l’Irak, la Syrie, la Palestine pour ne citer que ces pays-là, qu’en ont fait les pays CHRETIENS d’Europe et des Etats Unis, madame la Chancelière ?

Pour conclure, vous apprendrez à vos enfants votre histoire et nous apprendrons à nos enfants la nôtre, madame la Chancelière.’’