Durant les années soixante dix il y avait des militants de gauche engagés qui miltaient sincèrement,consciemment,avec une volonté de fer,avec beaucoup d’abnégation ,d’altruisme défendant les valeurs universelles :l’égalité,la justice la bonne répartition des richesses ,les causes justes des gens maltraités, oppressés, réprimés dénonçaient sans faille le capitalisme sauvage ,le profit ,l’exploittion de la classe ouvrière  et ne baissaient jamais les mains ,ne changeaient point de parti ou de courant de philosophie  au prix de leur vie ,de leur avenir ,de leur santé de leur situation .Ils prenaient la défense des catégories sociales les plus démunies , fragiles et tous ceux qui vivaient dans la précarité et qui subissaient des injustices ,qui avaient besoin de soutien matériels et moral.Ils ne manquaient jamais à leur devoir et asumaient pleinement leur responsabilité,s’acquittaient horablement de leur mission ;luttaient contre toutes les formes d’injustices sociales ,économiques et politiques sans faille et avec ardeur.ILs avaient enrichi la culture du militantisme humain,du partage ,de l’égalité ,du progrès et dun modernisme malgré la répression,les tortures physiques et psychiques qu’ils subissaient dans leur parcours.

Bien que la répression,l’opression les conditions de vie difficiles,les dangers qui les hantaient aient été grands,les procès,les poursuites soient nombreux et répréssifs , ils ne courbaient  jamais l’échine et ne se décourageaient point ,honoraient leur engagement et s »acquittaient honorablement de leur mission .Ils enrichissaient les débats ,la littérature engagée qui critique le totalitarisme,la dictature ,l »opression et militaient pour l’instauration de la démocratie,faisaient prendre conscience, animeaient les idéaux,sensibilsaient,éclairaient.

Certes ,il y avait de faux militant  cachés ,déguisés,qui ne croyaient pas sincèrement en les valeurs humaines universelles qui jouaient un double jeu mais ils n’étaient pas nombreux et n’osaient pas se manifester ou  commettre l’erreur de se dévoiler de peur d’être rejetés,exclus.

Y a-t-il encore aujourd’hui des intellectuels de gauche?

    Franchement ,aujourd’hui il y a peu d’intellectuels  de gauche qui méritent cette appelation .On peut les compter sur les doigts.Ils représentent une faible minorité qui ne milite que périodiquement et timidement à cause de la mondialisation, de la globalisation ,de la domination, de la suprématie du capitalisme ,du profit  qui a réussi à faire taire toutes les voies libres qui défendent les valeurs universelles humaines :la justice,l’égalité, la bonne répartition des richesses ,la libre expression,l’égalité des chances et  à cause du monople ,de la concurrence sauvage ,de la  désinformation,des révisions,de la marchandisation,de la corruption.Les partis de gauche qui ont accédé au pouvoir avaient déçu par leurs prestations,par les politiques  adoptées qui n’accordaient pas d’importance au social  et faisaient de la politique politicienne ,qui n’avaient pas  tenu leur parole ,n’avaient pas accordé plus de crédit au social lorsqu’ils étaient au pouvoir ,qui adoptaient des politiques semblables à celles de la droite et qu’on ne différencie pas du capitalisme ,du  libéralisme ,du néo colnialisme.

L’arrivée des partis de gauche au pouvoir et leur manière de gérer les affaires,d’approcher le social ne s’inspiraient  pas de la philosophie de gauche ,du socialisme et ne différent pas beaucoup des idéaux de la droite.Les intellectuels de gauche d’aujourd’hui dont le nombre est très réduit avancent que les courants philosophiques évoluent que la gauche est dynamique, qu’elle subissait et subit des attaques idéeologiques  du libéralisme,du capitalisme ,de la mondialisation ,de la globalisation,que les mentalités changent ,que les théories,les doctrines doivent être révisées pour les adapter au nouveau mode de production,aux éxigences de la société de consommation , au bien être ,au nouveaux courants philosophiques,le libéralisme,la  démocratie économique et sociale …