Oujda : Une migration subsaharienne qui se complique
Dans une opération préparée minutieusement par les services de l’ordre de la wilaya d’Oujda, le 17 avril 2013, la brigade criminelle a réussi le démantèlement d’un réseau de malfaiteurs, encore à son état embryonnaire, composé essentiellement de subsahariens d’origine Nigériennes. L’assaut qui n’a pris que 15 minute de délai, a permis l‘avortement du développement d’un réseau criminel dissimulé dans le camp des subsahariens, installés dans l’espace universitaire (coté West de la Faculté de droit de l’Université Mohammed premier d’Oujda). Une importante saisie de stupéfiants ( 200 gramme de cocaïne, hachich, psychotrope et anxiolytiques), Alcool (whisky et bière), l’argent liquide (22000 DH), des téléphones portables, des documents de voyage, des pièce d’identité ainsi que des armes blanches de toutes sortes. Dans le même mouvement, les services sécuritaires ont arrêté, en plus de la bande criminelle, 95 subsahariens candidats à l’immigration.
La situation décrite n’est qu’un volet de l’impacte de l’immigration subsaharienne au Maroc. C’est un problème social très complexe qui mérite une réflexion très profonde de la part des décideurs politiques à fin de maitriser cette problématique qui ne cesse de prendre forme. Mais la question qui s’impose est de savoir qu’elle est l’approche qu’il faut adopter.
ELACHOURI Mostafa
Email : elachouripresse@gmail.com
2 Comments
Ce n’est que la partie visible de l’iceberg. Le potentiel criminel n’ a pas de bornes chez ces migrants subsahariens. Qui nous dit que demain ils ne prendront pas les armes contre les peuple qui les a accueillis?
un negre : voila un raciste de plus ,l’islam a combatu le racisme ,alors que les surveillants de ce site laisse passe ce message comme c est normal,si c etait en europe ce MR sera suivi devant les tribunaux