Le traiteur Un métier à réguler, réglementer
Le métier de traiteur qui s’est implanté dans la région de l’oriental à partir d’Oujda il y a un quart de siècle, est un métier noble Il tient cette noblesse non seulement aux divers services et prestations qu’il offre à la communauté mais ce métier dont on ne voit souvent que le côté commercial pour ne pas dire mercantile, contribuer aussi à pérenniser et à valoriser notre art culinaire, prisé à l’interne et à l’international Par ailleurs, ce métier qui ne cesse de se développer au fil du temps, est créateur de richesses et générateur d’emploi De fait, il contribuer à résorber le chômage et assure ainsi des revenus à des centaines de ménages, en particulier démunis
Aussi, est-il temps que les traiteurs se réunissent et s’organisent pour réguler et réglementer ce métier en vue de le professionnaliser et le défendre Oui, il faut défendre ce métier contre l’anarchie qui y sévit depuis l’arrivée de quelques énergumènes et l’investissement non vertueux, qui n’est qu’un placement d’argent pour ne pas dire un blanchiment d’argent
Les traiteurs doivent aussi mettre la main à la pâte et participer à la formation de profils pointilleux pour assurer des services et prestations de qualité répondant aux standards d’hygiène et de sécurité sanitaire Ce métier, à l’instar d’autres, est appelé à accompagner la nouvelle dynamique socio économique que connaît la région de l’oriental
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