La recherche d’information a considérablement évolué et ne cesse de se transformer, en effet, l’émergence de l’Internet a bouleversé les pratiques documentaires  avec la mise à disposition, en ligne, des bases de données considérables. A fin d’optimiser  ces données numériques, l’université  « locomotive du développement » doit impérativement s’accommoder à ces changements en  impliquant une stratégie de valorisation de la recherche scientifique. C’est dans cette optique que l’Université Mohammed Premier (UMP) d’ Oujda  a entrepris une action qui vise à faire connaître aux étudiants, enseignants et  chercheurs la diversité des outils disponibles et de leur fonctionnement.
A l’initiative de l’ UMP d’Oujda et de la Revue  de Microbiologie Industrielle et Sanitaire et Environnementale (REMISE) des journées d’informations et de formation vont être organisées le 26, 27 et 28 Avril 2012.
En vue de donner un éclat médiatique à cet évènement, les organisateurs ont fait un appel préalable à une rencontre avec la presse régionale qui a eu lieu le Jeudi 5 Avril 2012 à la présidence de l’Université.
En présence d’un certain nombre d’étudiants, journalistes et professeurs universitaires. La séance a débuté par l’allocution de Monsieur le président de l’UMP qui a donné une esquisse sur l’université et ses activités de recherche. Également, il a évoqué en partie les lignes directrices du développement de la recherché adopté par l’université Mohammed Premier. Juste après, le professeur Meziane Mustapha coordinateur et membre du comité d’organisation a repris la parole en donnant une idée générale sur le but et la porté des journées d’information et de formation précitées tout en mettant le point sur l’utilité de la diffusion de l’information et l’ouverture de l’université sur son environnement socio-économique et l’intérêt de l’insertion de la presse comme vecteur essentiel dans le processus de la diffusion.
Quelques réflexions pertinentes ont été relevées par des journalistes et qui ont ciblé en premier lieu la discordance existante entre les activités de recherche de l’Université et l’activité journalistique, parmi les questions soulevées, on note celle du journalistes Zghoudi Mohammed du journal électronique » Oujdacity.net » qui a fait la remarque sur le nombre très restreint de journalistes présents à cette rencontre.
La question est de savoir si c’est les journalistes qui boudent l’université ou c’est un problème de communication. En tout cas il faut du temps pour se mettre au diapason.

ELACHOURI Mostafa
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