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SE FORMER A INTEGRER/ A S’INTEGRER…C’EST AUSSI, SE NIER, SE RENIER, SUER, ET SIGNER DES P.V. DE RENTREES ET DE SORTIES.

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« SE FORMER A INTEGRER/ A S’INTEGRER…C’EST AUSSI, SE NIER, SE    RENIER, SUER, ET SIGNER DES P.V. DE RENTREES ET DE SORTIES.

INTERDICTION D’ENNUYER, DE S’ENNUYER. ! »

-EST-CE BIEN L’APPROCHE INTEGRATIVE   :  TU EN ES SÜR….?!

-OH,OUI !

C’est  une lapalissade que de valoriser les nombreux  rôles de la formation professionnelle, dans la compétentialisation de toutes les pratiques des métiers, au sens large des domaines. La grande majorité des systèmes de tutorats qui ont réalisé des progrès considérables, avaient connu auparavant, de longues périodes d’incertitudes et de doute profondément inquiétants, sur leur sort.

Dans le secteur privé, des envies insatiables de capitalismes débridés, des courses effrénées vers le gain facile et assuré, ont vite aiguisé les volontés de chercher, par tous les moyens disponibles et imaginables, des voies et des moyens, humains et matériels, susceptibles de  développer les rendements de toutes les catégories d’entreprises.

Des centres de recyclages ont été créés ; il en est de même pour des centres d’initiation et de sensibilisation aux innovations galopantes…..

Des budgets colossaux sont désormais alloués pour faire face aux multiples exigences des différents types de formations initiales, continues, et répondre à des besoins réels et prévisionnels qui ne pardonnent aucun tâtonnement, aucun relâchement, aucune dérobade.

Des programmes top prêts de formations intégrées sont conçus, élaborés, mis à l’épreuve, puis exécutés minutieusement par d’éminents spécialistes, au profit de toutes les catégories des personnels  en exercice : certaines langues vont jusqu’à prétendre affirmer que si les responsables organisent des formations, ce n’est certainement pas pour « les beaux yeux des salariés », mais, surtout et plutôt, pour réaliser les meilleurs rendements possibles.

Dans le secteur public, force est de constater qu’en dépit des efforts, de l’engagement, de la mobilisation, des  différents acteurs et  partenaires d’un domaine donné, les résultats demeurent en deçà des objectifs préalablement arrêtés.

En termes de motivations diverses, les principaux concernés donnent souvent l’impression de ne percevoir, ni l’intérêt de tel branle bas, de tel arsenal de formation, ni son impact direct sur l’évolution de leur propre situation administrative. Ils y voient avant tout, une sorte de gaspillage du temps et des moyens.

C’est donc là un gros problème particulièrement décourageant, qui ne manquerait pas d’avoir des conséquences indésirables sur tout le reste.

De nombreuses approches, et non des moindres, ont été tentées dans le but de faire participer les principaux acteurs et partenaires,  aux différentes phases des processus de formations ; mais sans résultats probants, ni rassurants, tant les attentes des uns et des autres sont la plupart du temps, divergentes, sinon contradictoires. !

Pire encore, certains des principaux concernés formulent, de vive voix, leur rejet des rencontres de concertations organisées par les autorités compétentes : ils ont l’impression d’être piégés, d’être manipulés, par des idéologues, des démagogues, par des observateurs  de pouvoirs occultes : « nous refusons de servir de cobayes, pour le compte de hauts responsables , ayant leurs propres enjeux, politiques, sociaux, financiers, ou autres. » se lamentent-ils . !

Seraient-ce là des signes de démission psychologique, de rejet de toute formation programmée et organisée par les départements de tutelles, entendons de l’Officiel. ? Loin de nous, l’idée de proposer une réponse à une telle question, nous croyons, cependant, que, parmi les principaux acteurs et partenaires, beaucoup ne sont pas tellement motivés, ni moralement, ni matériellement, car les établissements-entreprises dans lesquels ils exercent leurs métiers, ne sont pas, effectivement, les leurs.

Certes, des propos, des promesses,  pourraient aiguiser des appétences chez les salariés-principaux acteurs et partenaires-pendant un certain temps Toutefois, les motivations  sont de l’ordre des actes, « du faire, beaucoup plus que du dire », et  de dire à faire, il y a loin, sauf dans un cas qui se respecte : « QUAND DIRE, C’EST FAIRE », rétorquent-ils… !

DE VIVE VOIX : Mohammed  ESSAHLAOUI

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