Tous pour abreuver des animaux citadins
« Tous pour abreuver des animaux citadins »
Benyaich mohamed
Faculté lettres oujda
Benyaich.maroc@gmail.com
Parfois on passe par un atelier qui nous semble futile ; sans rentabilité considérable .soudain on constatât que nous étions torts et inattentifs ,car on était entrain de rater la plus belle action qui caractérise l’humanité et la rendre sa vrai position.
Les jours passeraient ,ainsi que les mois et les annèes.les générations se changeraient et se ressusciteraient mais les pensés resteraient les mêmes ,stables et primitives ,par rapport à certains actions et procédures .nous sommes tous prisonniers de tant de chose inutiles et même viles mais on les croiraient comme coutumes et vertus valables qui devraient continuer ainsi.
La question animale s’insère dans cette problématique qui est apparemment sans grande importance mais au font il l’aurait sûre et certain, car par l’aide de faiblesse qu’on apprend la sagesse.
Car les animaux sont nos vrais voisins les plus proches, qui cherchent de force leur refuge sur nos toits et franchiraient nos seuils ,.
Les animaux ,appelé domestiques ou de la compagnie ,font partie de notre vie quotidienne tout en nous suppliant de leur rendre un tout petit simple service ,qui est un bol d’eau et un petit morceau de pain par quoi se nourrir pour survivre.
L’homme de par sa nature despotique s’est emparé de tous ,des sources aquatiques ,nutritives et aussi résidentielles. Même les puis il les engloutit sous le sol de sorte qu’il monopolise et truste le reste de son entourage. Il est expansionniste d’office et de sa mauvaise prétention .donc il cherche toujours à être le maitre et chante l’hégémonie, s’il ne lui parvient pas devant sa race il chercherait la compensation depuis les pauvres animaux et autres.
Les principaux animaux qui le mettent en épreuve se sont les chiens ,les chats, et un peu moins les oiseaux ,car ces derniers ont la chance d’être indépendants en survolant partout .
Ces pauvres animaux ,liés a l’homme selon leur nature et situation, n’ont pas la capacité et le courage de l’affronter afin d’épargner leur portion et de trouver un abri tout a fait calme, sans humiliation par être chassé ou bâtonnée.
Par contre l’homme reste indifférent de leur part ;et agit comme s’il est le seul citoyen et patron sur le sol et sous le sol. Il est le plus avide que jamais a connu la terre. Donc la vie de ces animaux et leur continuité dépend de luis car c’est lui le dominateur ; soit tyrannique ou non.
On dirait parfois que « celui qui domine le ciel domine la terre ».de ma foi je dis le contraire « celui qui domine la terre domine le ciel » car celui qui survole depuis la terre devrait obligatoirement atterrir où il trouve son stationnement et refuge. donc les oiseaux eux aussi ont leur raison.
Faisons- nous le pas de cette modeste philosophie vers la vie quotidienne sur le sol ,où se poussent et se bousculent les êtres concrets, corporels, qui partagent le même sens communs et coin ,surtout le plaisir et la douleur ,la satiété et l’arrosage.
D’après ma petite remarque j’ai constaté que nos villes et leurs populations ,soit les responsables urbains ou les simples citoyens restent tout à fait dépourvus de ce sens ,ils ne prétendraient aucune importance à leurs voisins les plus fideles du mondes ,surtout les chiens.
Si on fait une longue tournée ou trajet partout dans une ville ;par exemple : Oujda ;nous n’arriverons pas à trouver plus d’une dizaine de bols consacrés pour l’abreuvoir à ces pauvres êtres animaux .depuis cette observation il m’est arrivé à l’esprit une question douloureuse et épineuse qui se résume ainsi: « comment pourraient-ils se débrouiller, et obtenir leurs besoins ,ces malheureux dans cette ville urbanisée sans pouvoir trouver un simple abreuvoir qui fait éteindre leur soif? »
La simple réponse à inspirer c’est : dieu qui sait !.vraiment c’est dieu qui sait mais aussi c’est lui –même qui nous a ordonné de nous entraider et avoir pitié entre nous et notre entourage, surtout le vivant .en tant que dominants ,donc nous serions obligés de prendre en charge tout être inclut dans notre territoire . c’est çà la justice et la raison ,sinon nous serons des transgresseurs et malfaisants prévaricateurs.
C’est animaux depuis ma conception représenteraient un vrai test de cruauté ou de pitié dont ils se réjouissent et subissent les peuples et sociétés.il est aussi un examen réel pour la foi basé sur la miséricorde et l’attendrissement.ces vertus constituent le fond de notre religion qui nous enjoigne de faire le bien envers n’importe quel être vivant tant qu’il ressent la douleur et le plaisir…
Ce petit article ,malgré sa modestie, fait insinuation ou alerte à un problème très dangereux qui menace notre vie quotidienne et nous rejette dans l’inconscience et les relations gelés qui devenus les caractérisant principaux de nos sentiments. C’est l’indifférence qui s’approche de la violence.
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