Un article mis au rebut
Sans la moindre intention de scandaliser ou d’offusquer mes lecteurs, je me permettrais de donner une explication quant à l’article mis au rebut et ce afin de tourner la Page… Le cœur m’a murmuré pour que j en écrive une belle !!!
Il serait indispensable de relire l’article qui a été supprimé à tête reposée pour pouvoir déceler son objectif principal. Un travail où on suait d’ahan ne devrait pas être récompensé négativement !!Car, à vrai dire, il n’avait guère besoin d’une « sémiologie de la signification », ni encore plus d’une « visée phénoménologique » qui puisse engendrer un éloignement transparent, et atroce, entre le sujet et l’objet …
Généralement, tout objet transmis et codé par un sujet/acteur se doit d’être décodé, déchiffré, décelé, dévoilé et interprété puis analysé selon des normes bien établies. En revanche, si l’interprétation ne vise que ce qui est fort apparent et se place, donc, au niveau formel, tout le « sens » changera. On aboutira, ipso facto, à un « non sens » ou un « faux sens ».
A priori, le sens, selon les sémioticiens correspond au mot « raisons » (au pluriel). De ce fait, des questions s’imposent et nous mettent dans un embarras (pour ne pas dire difficultés) de signification et de compréhension. Parmi les questions qu’ON devrait normalement (se) poser en lisant l’article, je note respectivement : le titre « le ‘’je’’ en ‘’nous’’, le ‘’nous’’ en ‘’je-u’’ » qu’évoque-t-il ? L’auteur de l’article, a qui faisait-il appel ? Pourquoi employait-il des mots relevant d’un champ lexical de la haine ? Etc.
Raison forte est de s’interroger sur la fonction d’appel omniprésente de manière dévalorisante dans le texte. Mais, la fonction d’appel dans une communication(en faisant appel à Jakobson), n’a uniquement pas comme « but ultime» de viser, afin de dévaloriser, une personne bien précise ! On fait appel à autrui, certainement, mais le plus souvent avec une INTENTION, d’une communication non BROUILLEE, instructive, s’axant principalement sur l’échange informatif.
En conclusion, ne cherchez pas mon sens dans une « sémiologie de signification », mais cherchez-le dans une « sémiologie de communication », sinon vous introduisez une espèce d’ « inquiétante étrangeté » (pour n’emprunter à Freud que ces deux mots « extra…ordinaires »). Je ne demande pas à ce que je sois votre coqueluche, ma seule sollicitation, c’est de Faire chère de commissaires de nos textes !
« On se fait toujours des idées exagérées de ce qu’on ne connait pas », (L’Etranger de Albert Camus)
3 Comments
Bonjour Monsieur,
Je voudrais savoir:
1-Est ce que la compréhension d’un texte est une récompense pour l’auteur? Pourquoi pas l’incompréhension qui est en réalité un élargissement du champ conceptuel comme la voyait Nietzsche?
2-L’interprétation raisonnée et raisonnable ne se fonde t-elle pas est sur une sémiologie de communication et une sémiologie de signification comme étape plus avancée et approfondie?
salam « »Curieuse », tout d’abord, j’aimerais vous remercier pour votre intérêt.
R1+R2:On distingue deux types majeurs de compréhension: C.objective et C. Subjective. Or, la première(compréhension objective) consiste en une interprétation »raisonnée et raisonnable », consciente et conséquente, qui « répond » à ce qui est voulu de par l’auteur( énonciateur, destinateur/ émetteur, écrivain ou « écrivant »). La deuxième, quant à elle, met en exergue le côté personnel à travers une sélection; elle est sélective.
La première récompensera peu ou prou l’auteur, car elle se focalise sur d’interprétations plus ou moins logiques, n’ayant pas recourt à la subjectivité « dévastatrice du sens ». La deuxième élargira les champs conceptuels/ ou encore mieux les interprétations présentées comme hypothèses/
Quant à l’auteur de « Ainsi parlait Zarathoustra », il partait d’une conception philosophique, étant donné que la philosophie part d’une question, élément ou volet pour en faire tout un SUJET; la chose qui justifie fortement sa citation.
Pour conclure, je dirais que l’interprétation raisonnée et raisonnable a comme socle, la juxtaposition de la »sémiologie de communication » et « la sémiologie de signification »(sachant que la première peut inclure la deuxième)…Mais cela n’empêche que l’interprétation reste dans « Le POSSIBLE ».
Veuillez Mme/Mlle « Curieuse » de ne pas prendre au sérieux l’imposture de mes mots dévoilée à la fin de l’article!
BONJOUR M.HAMDAOUI,DEPUIS QUE VOUS AVEZ OPTE POUR LE SITE « OUJDA CITY » AVEC LA FERME INTENTION DE PUBLIER VOS ARTICLES,VOS REFLEXIONS,ET VOS COMMENTAIRES, SI PERCUTANTS ET SI INCISIFS,JE M’INTERESSE MODESTEMENT MAIS REGULIEREMENT A VOS PRODUCTIONS QUE JE TROUVE ABSOLUMENT DIDACTIQUES,PROFONDEMENT RESPONSABLES, PARTICULIEREMENT RICHES SUR LES PLANS COMMUNICATIONNEL,DISCURSIF,ARGUMENTAIRE.
CHER COLLEGUE,VOUS FEREZ SANS DOUTE UN EXCELLENT CADRE FORMATEUR DE PROFESSEURS STAGIAIRES DANS UN CENTRE REGIONAL SPECIALISE. VOUS Y CONTRIBUEREZ REMARQUABLEMENT EN DONNANT UNE IMPULSION DYNAMIQUE ET CREATRICE,S’INSCRIVANT DANS UN PROCESSUS DE MISE A NIVEAU,OEUVRANT DANS LE SENS D’UN RENOUVEAU EQUILIBRE, TANT SOUHAITE.
BIEN CORDIALEMENT ET RESPECTUEUSEMENT.
DE VIVE VOIX:Mohammed Essahlaoui