NON ! CHAVEZ N’EST PAS MORT, IL VIVRA TOUJOURS !
NON ! CHAVEZ N’EST PAS MORT, IL VIVRA TOUJOURS !
De tous les dirigeants politiques du monde contemporain, c’est Hugo Chavez qui aura indiscutablement et glorieusement marqué son époque.
Bien sûr par sa vision très forte et son engagement pour le peuple et pour l’Amérique latine.
Bien sûr par la solidarité exemplaire avec tous les peuples en lutte, notamment les Palestiniens, par sa volonté de construire un front international pour que l’humanité échappe enfin à la pauvreté.
Mais aussi par ses qualités humaines. Quand on lui parlait, il écoutait avec une attention très forte, le temps qu’il fallait, sans interrompre, sans chercher à abréger malgré son emploi du temps hyper-chargé.
Aucune prétention, mais au contraire une grande humilité, la volonté très forte d’apprendre de chacun, quel que soit son éducation et son rang, et la volonté de faire participer, de donner un rôle important à tous.
C’est grâce à cela qu’il a réussi à mobiliser tout un peuple et à mettre l’empire en échec.
Oui ! Chavez n’est pas mort, il a semé l’espoir, il a rendu l’espoir à toute l’Amérique latine, et son œuvre est inspirante aussi bien pour l’Afrique, que pour le monde arabe et l’Europe.
Penser toujours à Chavez permettra à tout le monde de comprendre pourquoi ce dirigeant est un des plus importants du siècle, pourquoi les médias le diabolisaient, pourquoi les Etats-Unis essayaient de renverser la Révolution, mais aussi la force de celle-ci.
Chavez est un pilier de l’identité vénézuélienne contemporaine.
« A ceux qui me souhaitaient la mort, je leur souhaite une très longue vie pour qu’ils continuent à voir la Révolution Bolivarienne avancer de bataille en bataille, de victoire en victoire » disait-il, et dira-t-il éternellement.
Il n’était ni un professionnel de la politique, ni un expert. Il était juste un homme du peuple.
Tous sont Chavez, même sans Chavez ! s’exclamaient fermement les foules.
Au Vénézuela, la femme qui, il y a peu de temps, ne savait ni lire, ni écrire, ni compter, a victorieusement appris à apprendre à se prendre en charge, après avoir suivi des programmes intensifs d’autonomisation.
Aujourd’hui, la femme Vénézuélienne, grâce à la création d’un ministère spécialement conçu pour elle, n’est plus prisonnière de pauvreté, ni d’analphabétisme.
Les problèmes de santé sont traités sur place, Des programmes de sensibilisation, de stagiérisation ont permis de réaliser et de renforcer une large responsabilisation de familles entières. Ce qui n’a pas manqué de développer une médecine qui s’humanisait au fil des jours, rompant définitivement, avec les affres dévastateurs d’un mercantilisme esclavagiste.
On comprend mieux aujourd’hui pourquoi les dirigeants occidentaux, en voulaient tellement à Hugo Chavez, le considérant comme la bête noire de l’impérialisme qui veut toujours se présenter comme l’indispensable, l’incontournable, qui tenait obstinément à imposer au Vénézuela son éphémère domination. Il cherchait par tous les moyens, avec ses valets, à renverser vainement cette Révolution planétaire, universelle.
La Révolution Bolivarienne sert et servira, malgré les forces haineuses et rancunières, d’exemple vivant à tous les peuples pauvres, ou plutôt appauvris, par les actes ignobles et odieux de pillages de sociétés multinationales, d’infâmes prédateurs des biens et des richesses des peuples en lutte constante, pour défendre leur indépendance et leur liberté/.
DE VIVE VOIX : Mohammed Essahlaoui
4 Comments
en respectant votre avis.moi je n’oublie jamais l’aide morale qui l’a donné au kadafi jusqu’a la dernière seconde sans oublier ses relations avec polizario.
Mr Tahar bounoua a raison. Tout ce que vous avez développé à propos de feu Chavez est vrai, indiscutable et instructif, Mr Essahlaoui. J’ajoute que les programmes d’aide directe aux couches déshéritées est à mettre à son actif et a permis une élévation sensible du niveau de vie de cette catégorie, quoique j’ai vu une émission récemment qui nuançait ces résultats. A cet égard, il semblerait que le gouvernement Benkirane s’inspirerait de la recette de Chavez, moyennant une adaptation à notre contexte. Mais on ne peut oublier que Chavez s’était rangé totalement du côté de kaddafi lors du soulèvement en lybie ( j’ignore sa position à l’égard de la révolution du jasmin en tunisie) ; en plus, on ne peut ignorer qu’il flirtait avec le polisario
Quoi qu’il en soit , je retiens , personnellement , 2 choses : Caracas , la capitale du Venezuela est parmi les plus dangereuse du monde avec en moyenne 20 meurtres par jour ,….Chavez soutenait sans condition le polisario : l’ami de mon ennemi , est mon ennemi.
Chavez était peut-être tout ce que vous dites, mais il était aussi un fervent défenseur de la thèse séparatiste des mercenaires du polisario et un ennemi de l’intégrité territoriale du Maroc. Et puisque la question du Sahara est sacrée pour moi,je ne peux lui donner aucun mérite ni aucun crédit. Il est mort ,comme tout le monde meurt quand sonne son heure, et c’est tout !!!!