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Sou9 de la réclusion fémininutidaire » et « masculanitudaire »…

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Sou9 de la réclusion fémininutidaire » et « masculanitudaire »…

« Halte ! je t’aime !», « Halte ! Bouge pas , reste dans les strictes limites de la domestication, du dressage confortable et qui saura rester encore égal à l’AMBITION porteuse de ce que l’on m’a toujours fait porter »…

Complexe, cette « histoire », cette entrée au sou9…

De quoi faire perdurer la glorieuse castration à toutes les vitrines de ce sou9 qui n’en finit pas de « vitriner »…

Ayant à charge parentale et, donc, forcément éducative/socialisante, deux fillettes que j’adore et qui me le rendent dans l’intelligence et –ayant, au même bord- toutes ces « préoccupations » pour lesquelles une grande part de ma vie s’est laissé  immerger dans l’« entre-deux vagues »-, où ma singularité d’«homme » se devait de mettre en harmonie « beaucoup de choses » difficilement harmonisables ; donc par devoir de reconnaissance, je me dois de me mettre dans l’intelligence du sou9…

Le fait est que j’ai cette impression, que je souffre de ce malaise où le « perceptible non-sou9ien », ne donne aucune chance d’affirmation à «l’être » conjugué à la première personne de sa singularité propre…, elle y a difficilement accès…

Nous sommes, quelque part –par des effets que nous savons- dans une espèce de « rut culturel », débilement amnésique même par rapport aux bornes situantes et pas toujours « resituantes ».

Femme, homme… nous sommes de l’ordre des clichés consommés en tant que standards… davantage en tant que « rôles » prédéfinis, prédigérés et servis dans l’assiette étroite  où ce rôle expulse le statut mérité…

Que l’on soit conjugué au masculin ou au féminin n’importe plus à l’ère où aux commandes des B 52, une femme fait plus de dégâts que tonton 3antar qui a fait ce qu’il a pu quand il a pu…

Ce qui serait « reconduisible des enjeux actuels » dans la mondialisation, dans le Okadisme illuminant, ne peut être que l’écho dû à Iqra’a actualisable dans l’éternité, faisant fi de la temporalité : celui du devoir de la quête vers la VRAIE LUMIERE…

Au sou9, aux sou9s, tous les sou9S, on ne fait que traverser, on ne fait que gérer l’obligé « vivre ensemble » et, tous, en sortons –à chaque fois- quelque « chose » en main… il(s) nous permet(tent) cela : revenir avec un cabas et l’espérance que son contenu soit égal à nos préméditations « anté-sou9iennes »…

Au Sou9 Nssa, aus Sou9 Rajla, les règles, le compromis demeure égal à ses prétentions…

Au sou9, les références maltraitent les apparences car c’est le lieu de la valeur absolue…nul n’y va en smoking ni en robe de soirée…

Moi, je voudrais que mes filles aient un accès intelligent à ce/leur patrimoine, qu’elles puissent jouir de la traversée sur la même passerelle que mes parents m’ont permise, qu’elles puissent être à même de décoder (…) ce qui est servi par l’actuelle mode…en utilisant nos propres codes, ceux de notre simple identité…

Je voudrais qu’elles puissent engranger leur intelligence, pas dans le prédigéré, non, plutôt dans la prise d’une place au vrai soleil, au coude à coude forcé à cause de la pléthore des « chaises » numérotées, prédécidées par ces pseudo-intelligences des courants d’air de « akhir azamane »…

Je tiens à mourir le sourire aux lèvres en regardant, une dernière fois dans le rétroviseur » et pouvoir murmurer « je suis rassuré », mon existence aura pris un sens, si modeste soit-il…

Au sou9 de tous les temps, de tous les jours, au sou9 d’«ici » ou de l’«ailleurs-modèle-formatant », le féminin reste mis dans le casier du « désir sublimé »… « La femme est l’avenir de l’homme », disait tonton Aragon…Oui mais dans le typhon des turpitudes actuelles…l’ »avenir » est à redéfinir…tout en sachant se mettre entre les balises… qui feront que l’homme serait aussi l’ »avenir de la femme »…

Je serais partant pour que le potentiel affectif soit conjugué aux deux genres. Je serais heureux quand mes oreilles ne seront plus soumises aux verbiages plus durs que purs et qui ne saurons plus parler de « lef3a » ou de « la7nach »… je préfère entendre parler de la « gazelle bent arrimal » et de l’oryx (Daby) qui remettent le « chasseur » dans son âme contemplative et appréciatrice de sa quête…

La langue, le langage sont à exorciser… créateurs du verbe, ils devraient s’astreindre à leurs limites : simples habillages de l’entendement…

Mesdames, messieurs, en ce moment, les clichés ne sont plus à consommer dans l’ »égoïsme » de notre « petite valeur absolue »… Ils continuent à être dans l’entreligne de « IQRA’A »…

Bien à vous et au prochain sou9

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