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Au Sou9 de Sidi Abdelilah

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A Tonton Abdelilah
(On est du même âge chronologique, pardon pour  cette familiarité
que je me permets, vu qu’aux années 7O, on était dans les mêmes
« tranchées »… )
Pardon pour cette ruade, merci de « supporter » l’écoute d’une
voix ajouté –il n’y n’a pas très longtemps- aux urnes que je
croyais crédiblement porteuse de la mienne de voix, pardon de vous
encombrer, en ce moment, de ma petite plate platitude, je demeure
conscient que « Allah ya7ssane 3wanek m3a lwart »…
En même temps, Sidi Abdelilah (je suis familier vu que l’acte
vocalement politique actuel, pour moi serait certainement
l’investissement porteur par rapport aux générations « du jour »
et à la mesure de l’investissement intelligent que vous avez
entrepris (…) ; je vous en félicite et vous prie d’accepter
l’expression de ma très haute considération.
Sidi Abdelilah, dans notre cher pays, il y a encore , à l’ombre de
l’intelligence, de la volonté volontariste capable d’adhérer à
tout ce qui garantit –pas forcément le sacro-saint fric- la «
longévité » requise…même en allant au-delà des 67 ans de
service requis, proposé,  courageusement négociés, … ; il y a
encore de la « valeur » sûre…à impliquer…
Dans ce pays qui fait notre fierté à tous, nous sommes là et le
resterons ; nous le demeurerons vaille que vaille et, crieront haut,
fort et « porteusement » l’obligée déclinaison qu’il faut pour
être à la hauteur de l’ « attendu-circonstancié »… de rigueur
: celui de dire au grand naturel toute la fierté de notre marocanité
hautement proclamée !!!!
Aux « soldes » actuelles, Sidi Abdelilah, nous espérons, comme
vous, être à la mesure des « hauts/bas » de gamme…qu’il faut
gérer dans la pertinente intelligence qui fait cette marocanité dont
nous nous prévalons et dont –face à nos enfants- sommes dans
l’obligé chant de l’hymne nationalement chanté, déclamé dans
cette tonitruance qui fait la gloire de « notre mise en foule »…
Monsieur  Benkirane, notre écoute ambitionne d’être celle que vous
savez rendre aisément égale à la nôtre…
Permettez-moi, encore de vous appeler « Tonton ». Bien à vous.

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