Après avoir longtemps hésité d’intervenir militairement au Mali  et  misé sur la force africaine de la Cédéaao pour combattre et déloger les rebelles islamistes radicaux qui se sont emparés et ont  occupé  le nord du Mali où ils ont décidé de former un « Imarat » et  appliquer ce qu’ils appelle la Charia  sans le consentement de la polpulation et par la violence, la France fut contrainte d’intervenir et d’engager ses soldats d’urgence après l’avancée des groupes islamistes radicaux ,la prise de la ville de Kanno et la menace de la capitale Bamako, une menace très serieuse à la  vie des maliens, de ses 6000 ressortissants qui résident au Mali, à ses intérêts économiques et stratégiques à la sécurité , à la stabilité et à la paix dans toute la région subsahrienne et du Sahel.La France n’avait pas d’autre choix :elle était obligée de faire son dvoir et d’intervenir et d’engager ses forces au Mali  pour stopper l’avancée des groupes extrêmistes qui massacrent les civils, détruisent et pillent  et pour éviter  la prise,l’occupation de la capitale Bamako  et protéger les civils maliens et français et ses intérêts .

Pour faire face à la dangerosité que représente l’avancéé des « jihadistes radicaux » et devant la lenteur de la formation et de l’opérationalisation de la force africaine et l’incapacité de l’arméé malienne à  stopper les assaillants extêmistes et les vaincre, la France s’est trouvée dans l’obligation d’intervenir militairement d’urgence pour arrêter l’offensive et l’avancée des rebelles islamistes radicaux.Elle n’est intervenue qu’après l’adoption de la résolution du conseil de sécurité qui a autorisé à la force africaine et à la France d’assister, d’aider le Mali à se défendre et à recouvrir ses territoires occupés.