Les menaces algériennes face à la sagesse marocaine
Yahya Torbi
» Les chiens aboient et la caravane passe. » Proverbe arabe.
» Le chien qui aboie ne mord jamais. » Proverbe français.
L’Algérie comme tout le monde sait déjà, est un pays qui a surgit de nulle part; c’est-à-dire qu’elle n’a ni origine, ni racines, ni repères, ni histoire ni civilisation; on allait même dire: » un État voyou « . Elle devait attendre l’arrivée du colonialisme français auquel elle doit son existence et sa civilisation. Or, depuis 1962, date à laquelle l’Algérie a accédé à son indépendance, un gouvernement à caractère totalitaire, militaire s’empare du pays et ne cesse de semer la terreur au sein de la population, mais aussi de provoquer le Maroc qui existe depuis 12 siècles.
Les multiples et différents succès que réalise le Maroc à l’échelle régionale et continentale font que l’Algérie devient folle de rage. De plus, la stabilité politique, économique et sécuritaire ainsi que la situation geographique stratégique, dont jouit le Maroc, tentent les investisseurs du monde entier, et encouragent les entrepreneurs et les industriels internationaux à délocaliser leurs usines et entreprises d’Algérie et de Tunisie dans notre pays. Ainsi, le Maroc évolue à pas de géant alors que l’Algérie se marginalise davantage. Et, au fur et à mesure que la diplomatie marocaine triomphe, la haine et l’hostilité algériennes prennent de l’ampleur; surtout quand on a réussi à décrocher la reconnaissance quasi mondiale de la marocanité du Sahara, et que, à cet effet, le discours royal visant implicitement l’Algérie, le Polisario ainsi que tous les détracteurs de notre unité territoriale, stipule que le Sahara marocain n’est et ne sera jamais négociable et sur lequel le Maroc ne transige et ne transigera jamais.
Comme les accusations et les agressions verbales et morales émanant du President Tebboune laissent le Maroc indifférent, le régime algerien passe à des actions vindicatives sérieuses: rupture des relations diplomatiques, interdiction aux avions marocains d’utiliser l’espace aérien algérien, rompre le contrat d’approvisionner le Maroc en gaz, via le gazoduc qui traverse notre pays vers l’Espagne, mais pire encore, entrainer des milices du Polisario et les équiper d’armes, de munitions et de matériels logistiques tout en les incitant à entrer en guerre avec l’armée marocaine et à perpétrer des attentats terroristes contre le Maroc,… et malgré tout, la diplomatie marocaine garde toujours son calme et fait preuve de pondération et de bon voisinage.
Néanmoins, si nos diplomates jouent leur rôle d’une manière impeccable, quelques uns de nos élus, locaux notamment, illettrés, incompétents et insuffisamment formés politiquement, diplomatiquement et philosophiquement,
nuisent à la situation. En effet, au lieu de rassembler les citoyens, les mobiliser, les endoctriner et leur éclairer l’esprit; en les alertant sur les mauvais coups que manigancent les ennemis dans nos dos, ils complotent contre leurs confrères en se vengeant de ceux qui n’ont pas voté pour eux, et divisent ainsi les Marocains.
C’est pourquoi il est temps de mettre fin, une fois pour toutes, à ces pratiques malsaines, et de ne plus permettre à des « racailles » d’accéder au poste de maire, de conseiller municipal ou communal. Car, mettre le sort de nos villes et communes dans les mains de psychopathes sociaux, de récidivistes et maniaques dangereux, ou de misanthropes et d’égoïstes qui mettent leurs intérêts personnels au-dessus de ceux de la population, et qui ne maîtrisent, après avoir abusé de la confiance, de la gentillesse et du patriotisme des Marocains, et d’un électorat irresponsable de son acte électoral, que le détournement illégal de fonds publics, afin d’alimenter leurs comptes bancaires et de faire prospérer leurs affaires et projets personnels pour consolider leur pouvoir financier, nuit à la réputation du Maroc.
Il est temps aussi que ces » guignols » , qui non seulement ne savent ni écrire leurs noms ni déchiffrer une phrase, mais aussi qui ne comprennent rien au développement durable et qui contrarient les politiques publiques, disparaissent pour laisser la place à l’élite intellectuelle, pragmatique pour mener à bien la politique de nos villes et campagnes, et contribuer à la protection du pays contre ces ennemis qui nous guettent.
En un mot, ces soi-disant responsables sont dangereux pour la démocratie participative et le développement humain, auxquels aspire notre pays.
» à bon entendeur, salut! »
Yahya TORBI
Aucun commentaire