Le Général Saïd Chengriha supervise un exercice militaire à munitions réelles contre le Coronavirus près de Tindouf. Du jamais vu !
L’armée algérienne s’est adonnée, le 05 mai 2020, à un exercice d’opérette à munitions réelles à Tindouf, à quelques encablures du mur de défense marocain, sous la supervision de son Chef d’Etat-Major par intérim, le Général-Major Saïd Chengriha.
Cet exercice,digne d’un dessin animé, avec tirs de missiles à partir d’hélicoptères de combats, de camions équipés d’orgues de Staline, sans parler de chars et des mitrailleuses montées sur des véhicules tout-terrain tous dirigés vers la frontière marocaine, a de quoi faire rire les enfants algériens et leurs parents en cette période de Mois de Ramadan !
Le choix de la frontière marocaine par Chengriha, pour montrer ses faux muscles, est symptomatique de l’état d‘énervement et de panique des dirigeants algériens, aux prises à une cascade de crises aussi insurmontables les unes que les autres, notamment un prix du pétrole historiquement bas, un bas de laine étatique en voie d’épuisement et un coût de la gestion de la lutte contre la pandémie du Coronavirus, au moment même où la population algérienne refuse de se solidariser avec ce régime corrompu.
Une turpitude de ce galonné algérien dont les actes et déclarations hostiles au Maroc n’ont jamais été si loin par leur violence et ce, où il excellait alors qu’il n’était que simple Commandant de la 3ème Région militaire, celle de Tindouf. Des vociférations indignes d’un Chef militaire qui ont choqué par leur violence inouïe. Mais a t’il oublié que l’armée se doit de rester muette et que donc il aurait mieux fait de fermer sa grosse gueule !
Cette nouvelle provocation puérile des militaires algériens a l’avantage d’informer sur l’agitation du régime vert-kaki a l’avantage de rassurer les cadors du polisario, paniqués par l’idée d’être abandonnés par leur marraine,l’armée algérienne qui compte apparemment honorer sa « fidélité au serment » de l’hostilité à l’intégrité territoriale du Maroc, fût-ce en se faisant hara-kiri.
Il est clair qu’avec ce Général biberonné à la haine anti-marocaine, autant que le Président de l’Algérie, T.Bone, les relations algéro-marocaines connaîtront des temps encore plus difficiles.
Il est certain, qu’après avoir installé un nouveau pouvoir militaire à ses ordres et nettoyé les services secrets, nul autre gradé de l’armée algérienne ne pourrait s’opposer aux plans sordides de déstabilisation du Maroc du Général Chengriha.
Le Général Chengriha s’est forgé une sale réputation de militaire brutal et sanguinaire durant la décennie noire (1992-2000), période au cours de laquelle, alors que simple Colonel, il a commis ou fait commettre à large échelle des crimes, sous la conduite des généraux janviéristes, contre des populations civiles.
C’est d’ailleurs au cours de cette période, le 30 décembre 1997, 1er jour du mois de Ramadan etau moment de la rupture du jeûne,qu’eurent lieu dans la commune d’Ammi, Wilaya de Relizane, les terribles massacres à l’arme blanche de plus de 400 villageois, femmes, enfants et hommes, dans des conditions des plus atroces. Des crimes commis sous sa houlette et attribués faussement aux Groupe Islamique Armée (GIA). Honte à ce tueur sans loi ni foi !
Ce Chef d’Etat-Major par intérim d’une armée de sans culottes et de sans godasses, qui s’est faite proprement ramenée à la maison par les Forces Armées Royales Marocaines à multiples reprises, serait plus inspiré de fermer son caquet, lui qui n’est qu’un petit malfrat et un tueur !
L’Algérie a, finalement, connu trois clowns à savoir : le grand corniaud de Boumediene, le nain de Bouteflika et l’imbécile de T.Bone, sans compter les sans casquettes de militaires algériens, qui ne font que s’enrichir gloutonnement, et un quatrième, qui semble s’annoncer, à savoir le corniaud de Général Chengriha.
Ce qui fait dire aux connaisseurs qu’en Algérie l’armée à un État alors quedans toute démocratie l’État à une armée
Farid Mnebhi.
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