L’atmosphère glauque qui sévit le Maroc, de nos jours, prévoit de virulentes réactions.
A l’encontre de ce que les médias avancent, en particulier la télévision, la valeur humaine dégringole cruellement et tout citoyen de couche, moyenne, généralement, se trouve dans l’embarras d’une crise imposée dont il ignore les causes.
Ce citoyen qui a le mal d’un chien, car vivant dans un monde de théories utopiques, un monde  moisi et virtuel plus que réel, à mon sens, attend des promesses hors de son ordinaire. Il est victime ; la faute n’est pas la sienne sans le moindre doute.
On lui a inculqué l’erreur que la courbe ascendante signifie le progrès. Mais ON a oublié de lui expliquer qu’elle signifie aussi le déclin. ON lui a ancré qu’ « insubordonné » n’a aucune raison d’exister dans les dictionnaires, notamment arabes. Le pauvre avait toujours ‘’l’hallucination’’ d’un monde idéal, de l’Eldorado, de la Cité idéale. Il n’avait jamais pensé qu’un jour son devenir pourrait se délabrer… Bref, il ne s’est pas attendu au pire.
Eh OUI !!! Ce « il » minuscule était toujours heureux d’un environnement délectable qui lui octroie bonheur, joie, JAMAIS d’amertume et de rejet. Le ON quant à lui, n’a jamais été à sa dévotion, si le contraire avait été réalisé, ON n’aurait pas pu tirer à hue et à dia pour la réalisation vaniteuse de certains projets personnels.
Ces « ON » et « il » ne feront jamais un ensemble, car il s’est avéré que le premier attend le moment opportun pour rendre les derniers devoirs au deuxième. Affrontement hermétique, puis intempérance de langage… choque et enfin déclin ; La règle ne serait autre que « le Paradis des UNS est l’Enfer des autres.