M.Nabil Ben Abdellah demande la supression de la deuxième chambre ,la chambre des conseillers
Dans une déclararation après les résultats de l’éléction des conseillers de la deuxième chambre qui a connu la victoire de l’Istiqlal du PAM , une troisième place pour le PJD et médiocre score pour le PPS qui a eu seulement deux sièges .M.Nabil Ben Abdellah a déclaré que les élections de cette chambre a été entachée par des irrigluarités et des violations ,par l’utilisation de l’argent ,l’achat des voix des grands électeurs , que l’argent a été utilisé par un certain nombre de candidats et que beaucoup de gens sont au courant de cette pratique malsaine qui a permis à un nombre non négligeable de candidats de se faire élire et d’obtenir le siège qu’il convoitait .Il a ajouté que cette élection ne traduit pas la volonté,le choix des citoyens et n’était transparente .
Il s’est interrogé sur ce qu’il considère la source occulte des grosses sommes d’argent « investies « , utilisées,distribuées par beaucoup des candidats pour accéder au poste de député conseiller.Il a affirmé que la deuxième chambre est un fardeau et une charge qui surchagent les institutions et qu’elle n’est pas utile et bénéfique ,qu’elle ne représente pas vraiment la volonté,le choix ,le vote des citoyens et qu’il faut la supprimer et se contenter d’une seule chambre :le parlement qu’il considère plus représentatif, qui représente mieux le vote des citoyens ,le suffrage direct. Il a aussi vigoureusment dénoncé ce qu’il considère le recours aux pratiques malsaines ,illégales par des candidats en vue de décrocher,de remporter,d ‘obtenir le poste ,le siège de conseiller à la deuxième chambre.
M.Nabil Ben Abdellah ,a t-il fait cette déclarartion où il avance que l’argent été utilisé dans l’élection des conseillers de la deuxième chambre , où il estime que celle-ci a été entachée par des irrigularités ,des violations ,qu’elle n’était pas transparente et a demandé la révision ,la configuration de cette deuxième chambre ,redéfinir son rôle dans la représentation ,la législation et il a même demandé sa supression , sa dissolution parce que le PPS son parti n’a pas remporté un nombre accebtable de sièges ?
Il a nié catégoriquement avoir fait cette déclaration pour apporter des justifications ,des arguments pour justifier le médiocre résultat obtenu et a ajouté que ce n’est pas la première fois qu’il demande la dissolution, la supression de cette deuxième chambre et a rappelé qu’il l’a faite plusieurs fois dans le passé.et que depuis le tiers élu indirectement à la première chambre,au parlement en passant par l’ancienne configuration de la deuxième chambre (270 sièges) jusqu’à la nouvellelle configuration adoptée en 2011 les mêmes pratiques illégales et malsaines sont employés,utilisés par un nombre non négligeable de candidats pour parvenir à y accéder.
Que pensent les autre formations politiques de critiques,de la demande de supression de la deuxième chambre formulée par M.Nabil Ben Abdellah? les citoyens attendent que les autres partis de la majorité ou de l’opposition se prononcent là dessus .
4 Comments
s »il y a corruption et irrégularité dans les suffrages pourquoi ne démissionne t il pas en tant que militant et dirigeant d’un parti PROGRESSISTE ET SOCIALISTE de la deuxième chambre et du gouvernement, ce dernier qui laisse tout faire? voici une opposition qui approuve la politique d’une extrême droite et nous produit des discours.c’est le comble de l’hypocrisie politique. les discours improductifs ne rapportent rien ni à la démocratie ni au bien être du citoyen, on n’en a que faire ,ils ne font que coller davantage ces avatars opportunistes à leurs fauteuils et mener le citoyen en bateau.
AVANTI pour les preuves et les actes
Il me semble que ce monsieur a raison!
Je voudrais savoir juste quel est le problème si on supprime cette chambre?
Qui peut répondre? Franchement!
Et quel avantages?
Faites la part des choses!
Il ne s’agit pas seulement de la deuxième chambre; un bon nombre d’inutilités doivent être supprimées dans ce « Bled ». Cessons de gaspiller des ressources que la nation peut (ou plutôt doit) s’en servir pour relever de grands défis socioéconomiques.