Nous sommes tous des autodidactes, dans la mesure où, pour nous les artistes de l’oriental, pas d’école des Beaux-Arts. Pas d’école de graphisme, rien que l’amour de l’art et le hasard d’avoir eu en notre jeune âge connue des artistes dans notre ville des gents qui ont aimé follement l’art, aimé l’art de la manière la plus absurde qui peut exister, qui ont aimaient l’art sans aucun  retour matérielle. Des gent qui respiraient l’art, des gents pour qui l’art étais une chose vitale, peut êtres même sans qu’ils le savent qu’ils ont transmis cette vie et énergie à tout les artistes et acteurs culturels de l’orientale.
C’est avec l’artiste plasticien  Benyounes Azizi que j’ai connus la première exposition de ma vie. C’est grâce à son initiative de créer  l’association des artistes du Maroc orientale que notre région s’est encrée dans le monde de la culture plastique. C’est  grâce à ce citoyen Oujdi  que nous avons chacun abordé l’art de la peinture.
C’est en 1972, entouré de plusieurs jeunes artistes que c’est relancé la vie plastique dans la région orientale du Maroc et que sa vie culturelle a étais réanimer par différentes expositions individuelles et collectifs ainsi que des rencontres aux niveaux nationales et internationales.
Sa persistance, sa sensibilité, son exigence  m’ont marqué à jamais et aujourd’hui encore, nous lui rendons hommage par cette modeste exposition organisé par l’association Réseau d’art A48 dont je suis le secrétaire générale.
Puis, nous avons continué dans la même veine, en organisons des actions culturelles artistiques, comme il nous l’a suggérer de le faire il y’a déjà une quarantaine d’années, Merci Azizi l’homme, merci Azizi l’artiste, merci Azizi le citoyen.