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Le trac de l’examen

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Il est reconnu par les examinateurs, les psychologues et les professeurs que l’appréhension, l’anxiété et la tension nerveuse sont parmi les causes importantes d’échec aux examens ou concours. Même si vous avez étudié sérieusement, même si vous êtes sûr de vous, vous n’êtes pas à l’abri du trac qui paralyse – brusquement – le fonctionnement des facultés intellectuelles… Les connaissances flottent comme dans un brouillard… La mémoire n’est plus qu’un grand trou noir… sans fond… Le plus terrible, c’est que plus un examen est important pour vous, plus vous êtes à la merci de cette angoisse paralysante. Nous avons porté une attention toute particulière à ce phénomène qui peut toucher n’importe qui, même ceux qui sont habituellement très décontractés. La méthode "Comment réussir vos examens, vos concours et vos études" consacre tout un chapitre à ce problème et vous donne toutes les solutions pour éliminer complètement ce risque. Perdre toute une année pour quelques minutes de panique, c’est trop bête ! 365 jours gâchés, des centaines d’heures d’étude, de lecture, de concentration, d’écriture perdue. Quel gâchis ! Alors qu’il y a tant de choses nouvelles à découvrir, à faire. Combien d’étudiants, découragés, baissent les bras et abandonnent… pour ces quelques minutes d’angoisse paralysante, renonçant à jamais aux situations qu’ils convoitaient et que leur intelligence leur permettait. Notre Méthode vous apprendra à rester calme en toutes circonstances, grâce à des techniques simples, de relaxation dirigée et de respiration profonde. Mais attention ; ce n’est pas 2 minutes avant l’examen que l’on peut apprendre à supprimer ces troubles. Il faut apprendre à maîtriser ces techniques "anti-trac" bien avant pour qu’elles soient à 100% efficaces en cas de besoin. Le "trou de mémoire" est un accident stupide qui peut briser un avenir brillant. Vous n’avez pas le droit de prendre ce risque. Avec la Méthode "Comment réussir vos examens, vos concours et vos études" vous affronterez tous les examens sans jamais vous départir d’une confiance absolue. A LIRE ET A MEDITER : CA N’ARRIVE PAS QU’AUX AUTRES Dès que je suis entré dans la salle, je me suis senti impressionné comme juste avant un événement extraordinaire. J’étais là et je me sentais absent, j’agissais comme un automate. Lorsque l’on m’a donné le sujet, mon cœur battait plus vite, j’avais chaud aux joues et mes mains tremblaient un peu. J’étais très étonné de ces réactions car je connaissais le sujet et, dans l’ensemble, j’avais plutôt fait une bonne année scolaire. Il n ‘y avait donc aucune raison pour que je panique. Je lus et relus le sujet de l’épreuve, comme si je n’arrivais pas à le comprendre. Je l’avais étudié et je savais que j’étais capable d’en parler, pourtant, c’était le néant. RIEN. C’est comme si vous rentriez chez vous, un soir comme les autres. Vous ouvrez la porte et… vous découvrez des pièces inhabitées et vidées de tous les meubles, tentures et objets familiers ! C’est une sensation terrifiante. On se refuse à y croire. ON SAIT que c’est impossible et pourtant la réalité est là : RIEN ! Alors, à ce moment, le trac se transforme en panique… On écrit de façon automatique quelques bribes de banalités qui vous reviennent. On essaye de se concentrer, de se calmer… Après quelque moment, cela passe un peu… mais, combien de minutes ou de dizaines de minutes précieuses se sont écoulées ? C’est là qu’on découvre qu’il ne reste guère de temps et que l’on n’a pas fait grand chose, alors qu’il y avait tant à dire ! Cette constatation n’arrange rien. Et voilà, c’est le mauvais résultat, la mauvaise note, l’échec…

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2 Comments

  1. ali
    24/11/2007 at 13:50

    mais vous évoquez là une une sittuation psychique qui depasse la normale et pour cela les établissemements concérnés doivent benificier d un conseiller socio-psychique.en attendant le recour
    à une habitude de sittiualisation pareille est trés important.

  2. TORBI
    24/11/2007 at 23:32

    Pire encore, le trac en tant que pathologie instinctive et instinctuelle, s’il n’est pas traité et qu’il devient récurrent, il pourrait destabiliser le psychisme de l’individu et laisser des sequelles, à long terme, tant au niveau moral qu’au niveau physique: phobies, anévrisme, diabète,…

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