Le sou9 a cette intelligence de ne pas se faire hermétique peut-être que « ana, massawa9touch meziane »… ou, certainement, je ne revendique pas cette prétention… Entre nous qui l’oserait ???  Je ne serais jamais dans cette posture, positionnement …l’ancrage au port de ma grand-mère m’en empêcherait inexorablement…

Je suis dans la simple quête du PRIMORDIAL, du simple « être » dans la survivance « domestique », dans ce cordon de vie  « raccordante » à ce qui m’a enfanté, façonné et qui n’arrête pas de m’interpeler par rapport, d’abord, à moi… le sou9 m’offre, généreusement, ses facettes  « réconciliantes »… à l’instar du miroir du matin où, continuellement, je suis face à mon pire ennemi… Sou9 rassi…

De même, en déambulant entre les facettes du sou9 (à la mesure de mon modeste décryptage) entre la virtuosité clinquante et l’infâme déclaré, je continue à me perdre dans cet assemblage réuni dans une contigüité ou le 7ram, le 7chouma, le tabou s’habillent allègrement du tissu du permissif (« tolérance »ou « main mise » sur le cabas reniflant les « arômes »… du sebsi aux senteurs joyeuses des carottes et autre « kalamanti »…

Le sou9 nous renvoie notre réelle « mise en vitrine »… il nous renvoie l’image de notre valeur absolue, et il a, toujours, su nous remettre devant notre propre vitrine, dans le consensus (…), dans l’ « accepté », le toléré…juste pour que Sou9 s’accomplisse…

Il n’ya lieu dans cet espace à aucune prétention de mise en boîte, non, il y a une négociation à chercher, à décrypter… pour que Sou9 se dévoile… et qu’il ne se fasse pas hermétique…

A demain.