Un directeur part, un autre prend sa place
tayeb zaid
Un directeur part. Un autre prend sa place. Tout nous opposait, l’ancien directeur et moi : son arrogance contre mon obstination de grand gueulard. Une seule chose nous était commune : le travail dans un cadre de respect faisant prévaloir l’intérêt du lycée et des élèves sur les intérêts personnels étroits. Nous n’avons à aucun moment été tendres l’un pour l’autre mais nous avons tout fait pour nous accepter. L’hippopotame et le crocodile ne vivent-ils pas dans le même étang ? Le directeur est parti à la retraite et je me prépare moi-même à ma retraite si demain veut bien m’admettre jusqu’à cette date. Malgré nos différends qui sont nombreux et la langue de bois que nous avons mis pour nous faire comprendre, nous sommes restés campés chacun sur ses positions espérant que l’un ou l’autre ferait le premier pas pour céder le terrain à l’autre. Ni lui ni moi n’avons fait ce premier pas si nécessaire dans les compromis et les arrangements. Nous en sommes restés là mais à aucun moment je n’ai personnellement senti des coups bas reçus dans le noir par le directeur. Comme je n’ai jamais essayé de lui donner des coups de coude dans les reins : il m’a plusieurs fois répété que je lui faisais mal, faisant allusion à mes articles publiés sur le site OUJDACITY ou à ceux mis directement entre les mains des professeurs dans la salle de classe du lycée. Je le plaisantais moi-même en lui disant que je n’avais fait que le chatouiller. Une courtoisie, vraie ou feinte tempérait mon ardeur fougueuse, belliqueuse et souvent provocatrice et ses élans imprévus, mal à propos et souvent maladroits. Nous voici au rendez-vous de la séparation. Comme deux hommes que des conflits avaient opposés, nous nous avons mis nos différends à part et nous nous sommes tendu la main dans un geste de pardon et d’adieu.
Ce qui n’est pas le cas du professeur/……….. qui a saisi l’occasion du départ à la retraite de son directeur avec qui il était en bons termes pour sortir de ses archives vieilles de plusieurs années toutes les choses dégueulasses afin de les exhiber au grand public. S’il l’avait fait en son temps, il aurait été applaudi et salué comme l’aurait été un grand réformateur soucieux de combattre les torts et les vices. S’il avait lui-même donné le bon exemple dans son environnement scolaire et périscolaire, il aurait été suivi comme aurait été suivi un guide conscient de son œuvre de conduire les hommes vers une terre où il fait bon vivre. Mais, hélas ! Il ne lui a pas suffi de botter le derrière à son directeur qui s’en va pour sa retraite, et qui ne peut pas lui rendre la pareille, il a cherché à me museler, à me faire taire en intervenant personnellement auprès du directeur du site OUJDACITY, qui, malheureusement, a retiré mon article du site après avoir cédé aux chantages de son confrère. Mon nom est lié au site OUJDACITY. Je ne m’imagine jamais dans un autre site que celui-ci. Ou bien j’écris dans ce site ou bien je n’écris pas. Ne pas écrire, pour moi, c’est mourir d’étouffement, c’est mourir d’une mort lente et pénible. De la même manière je ne peux pas concevoir que des gens médiocres puissent se permettre de dire des choses contraires à la réalité et qu’ils continuent à le soutenir sans que je leur réponde et avec les mots qu’il faut. Me demander d’atténuer mon expression, de l’adoucir, cela, je ne peux pas le faire car un article se fait dans ma tête avant de prendre forme sur l’écran de mon ordinateur. Pour anecdote, un éditeur a déplacé une virgule dans un sonnet de Baudelaire ; celui-ci lui demandé de supprimer tout le ver, toute la strophe, au besoin tout le poème mais la virgule a sa raison d’être.
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6 Comments
En d’autres termes, arrêtez de nos casser la tête avec ces futilités, sinon allez exposez vos problèmes ailleurs. Quel casse-tête!
هدا الموقع ليس لحكاية المسائل الشخصية وصراعات ويحرج ويشتم طرف الطرف الأخر
Bien que je ne partage pas souvent vos points de vue,vos opinions, vos conceptions votre manière de traiter certains sujets ,bien que je sois entré en conflit avec vous à cause de votre obstination à faire prévaloir vos idées,de votre tempérament,du langage parfois belliqueux, des propos malveillants que vous teniez quelques fois et dont vous bombardiez ceux qui expriment leur désaccord avec vous ,ceux qui voient les choses différemment et à qui vous offrez « de beaux cadeaux ». Vous ne ratez aucune occasion pour rappeler à tous ceux qui ne partagent pas avec vous vos « affinités » qu’ils auront une facture salée.Je vous reconnais des qualités : l’obstination,la ténacité ,la volonté et l’engagement de continuer à critiquer certains mauvais comportements. je vous rappelle que vous ne tolériez pas et que vous admettiez difficilement que les autres vous critiquent parce que vous jugiez souvent qu’elles sont mal fondées même si elles sont faites par des copains ou des collègues.Certes je vous ai provoqué par mes critiques que vous jugiez gratuites , je vous ait fait des reproches que vous n’avez pas pas admises et que vous avez jugées déplacées .Je critiquais quelques fois la teneur le contenu de certains de vos articles ouvertement en émettant des commentaires ou en publiant des articles sur oujda city pour exprimer mon point de vue sur les sujets que vous traitiez.Mais je reconnais que vous vous oubliez vite les querelles,les mésententes et que vous vous faisiez un travail sur vous et vous reconnaissez vos erreurs et vous présentez des excuses et c’est une formidable chose . J’apprécie fort bien les remarques que vous avez faites au professeur qui a attendu le départ du directeur à la retraite pour le critiquer ou le diffamer . J’espère que ceux qui traitent et appréhendent les sujets doivent être conscients que les critiques doivent être bien fondées objectives et qu’il faut s’abstenir de dévaloriser.je vous reconnais des qualités; l’obstination et l’acharnement,la lutte acharnée sans merci pour faire prévaloir vos idées ou lutter contre les mauvais comportements.Cette fois-ci je trouve les critiques que vous avez formulées objectives et vos reproches au professeur qui a attendu le départ du directeur en question pour sortir ses coutelas et ses armes usées pour déchiqueter la personne du directeur bien fondées et proportionnées.
Salam,
J’étais un élève de Monsieur Zayed (promotion 2004,Berkane), je me rappelle très bien de ses conseils précieux mais aussi de sa bienveillance au succès de ses élèves-enfants. Je l’avoue pour tout lecteur mais aussi pour ALLAH qui VOIT ce que nous faisons jour et nuit,n’importe où, à tout moment et à toute seconde: Tout le monde n’est pas Monsieur Tayeb ZAID. Le monde a changé: le changement des mauvaises habitudes des gens se fera en public et ce pour que les gens fassent attention des personnes en question et ne soient pas des victimes qu’on tyrannise les yeux ouverts!!!ALLAH LE TOUT PUISSANT VOUS AIDE, (inchaLAH)
au casse-pied et à l’étudiante: ce n’est pas avec une petite phrase mal faite que des cons et des connasses vont me faire garder le silence. Si cet article ne vous plait pas lisez mes autres articles sur l’analyse littéraire, sur la phonétique, sur l’énonciation…Vous n’allez pas me faire dire ce que vous avez dans ou sur le coeur comme vous n’allez pas me dicter vos volontés perverses.
bien répondu au casse-pied et à l’étudiante, monsieur zaid !
ces deux énergumènes à la langue fourchu ( qui n’ont pas le culot de decliner leur identité) méritent bien le qualificatif que vous leur avez « collé »; UGH!!
quant à moi , je partage ( en partie) les propos, probablement durs mais assurément francs, de mr elouchi