Sou9 Tafahoum
Bonsoir tout le monde, c’est à dire à tous mes chers collègues capables, au-delà de la production facile de phrases supposées relever d’un quelconque discours de positionnement facile et facilement conduisant à un exorcisme (non-professionnel) via une production de phrases non-ancrées dans le « débat » -actuellement de « circonstance »-… Bienvenue au discours de positions (salutaire et professionnel), non aux discours « sédimentés »…ne nous trompons pas de cible et cherchons le « défouloir » là où il est est réellement porteur…au nom de ceux qui attendent autre « chose » de nous… Il aura suffi que le « verre soit -déclarative ment »- trop plein pour tous pour que l’on se transforme en anthropophage professionnels ? Non, mais !!!!!!!!!!!! …nous les héritiers de l’époque héroïque…qui avons consenti les sacrifices quand il le fallait ???? Malek Chebel définit dans son « Dictionnaire des symboles Musulmans » (éditions Albin Michel, 1995, Paris) la notion de sacrifice tel que suit : « le sacrifice dans l’Islam est de deux sortes : tout d’abord, le sacrifice est offrande, chaque fois qu’il est pratiqué isolément. Il est communiel chaque fois qu’il pratiqué collectivement »… Où en sommes-nous du « collectif » et de l’ « individuel » ? En fin de carrière et d’existence, cela ma chagrine de l’effort sur l’acharnement sur tout ce qui nous « sépare » en ces jours de « sou9 tafahoum » par rapport à une « navigation » déficitaire entre ce sur quoi nous demeurons « sédimentés »…et l’autre « facette » de la médaille, celle sur laquelle figure (ou non) la superposabilité normalement attendue entre le « dire et le faire » ( Austin)… La « Zerda » professionnelle ne figure plus sur les mises à jours des logiciels sur lesquels nous sommes dans nos petits souliers par rapport à ceux dont nous déterminons l’avenir, les otages ; ces enfants qui « valident » nos petites querelles, qui que nous soyons (je parle de toutes et de tous, à commencer par moi-même….) Chacun d’entre nous devrait être en mesure de se faire auditer…ne serait-ce que par et pour lui-même !!!!!!!!!! En dernier ressort, je me permets d’énoncer une petite « vérité » : c’est quand nous perdons notre « essence professionnelle » –du début …- d’enseignants -compétents- que nous cherchons les parapluies phraséologiques, stériles et pourfendeurs des droits des « p’tites têtes-otages »… en versant dans la standardisation dépassée de la maximisation de notre « discours confortablement exportable »… En fin de carrière, en fin de vie, je me dis que c’est à la société, aux parents… de nous auditer tous, quels que nous soyons…
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6 Comments
Bienvenue à notre aimable collègue Mohammed Alem. Le site OUJDACITY a grand besoin d’une plume comme vous.Cela m’a fait plaisir de vous retrouver à travers votre écrit même si je ne vous connais que de nom. J’espère que cet article est un déclic pour d’autres et que vous ne nous ferez pas languir.
Zaid Tayeb
Bienvenue à notre frère Alem dans le site d’oujdacity.c’est un grand plaisir pour moi de lire vos articles.Bonne continuation.
je me joins à Mr Zaid et M. de jerada pour vous exprimer l’immense plaisir que j’ai eu à vous lire ( le même plaisir que j’éprouve en lisant Mr Zaid tayeb – qui nous fait languir ces derniers temps (je lui vole son expression).
La qualité de votre écrit ne m’étonne guère eu égard à la renommée de votre illustre famille dont j’ai côtoyé au moins deux membres les sur les bancs de l’école il y a quatre ou cinq décennies.
« où en sommes nous du collectif et de l’individuel « avez vous dit m.ALEM y a pas de collectif y a que les intérêts réciproques…c’est l’individuel qui prime depuis longtemps…
Entre « le dire et le faire » y a bien un trajet ….déjà dans notre culture traditionnelle,on affirme que « lssans mafih 3dam »:on peut dire ce qu’on veut sans se sentir obligé de faire quoi que ce soit.
…Vous avez raison m.ALEM de qualifier les enfants d' »otages »,ils le sont vraiment dans cette manière dont on gère la question éducative et à tous les niveaux:parents,éducateurs et responsables.
comment voulez vous donc que chacun se fasse auditer si les intérêts l’emporte sur le droit et le devoir?
loin de cette visée pessimiste, il y a toujours des bonnes volontés et des personnes d’action qui changeront certainement la situation actuelle…gardons espoir
Si chacun pouvait laisser de coté LAFHAMAT et mettre la main à la pâte ,ils ne seraient plus otages nos wlidat.
Au plaisir de vous lire monsieur Alem.
Merci à tous d’avoir réagi positivement à mon « incursion scripturale »…
J’ai déjà réagi par rapport aux premiers commentaires avec les modalisations « qu’il faut », or, sur Oujda City, ce qui s’écrit n’est pas forcémént « publiable »… En même temps ce qui se se publie… obéit au sacro-saint Sou9 Tafahoum apparemment..
Monsieur Kaddouri, vous avez réussi l’exploit de restituer la visibilité à notre chère région et surtout -vaille que vaille- avez oeuvré pour la suprématie de la voix raisonnable sur la voix résonnante -à la mode, de service et conjugable à tous les modes que nous savons tous… Félicitations et chapeau bas… Il n’en demeure pas moins que je reste -dans un scepticisme légitime- de questionnement par rapport aux critères de publications (je fait état de mon expérience sans vous en vouloir car je sais les « impératifs de gestion du Sou9 Atafahoum…
Maintenant, suite à des invitations émises sur votre site, de la part de gens pour qui j’ai beaucoup d’estime, pour que fasse part de « ma petite folie comme tout le monde »…, je me vois dans la triste obligation de vous vous demander si oui ou non je suis « publiable », c’est tout… et je serais, après votre estimable réponse, dans le Souk ou dans Tafahoum…mais éclairez-moi, svp sur le comment « être publiable » sur un site où on lit du « tout publiable »…
mon adresse e.mail (au cas où je serai encore censuré et que vous vous trouviez une motivation expliquante : mhammedalem@yahoo.fr)… Bien à vous et encore une fois bravo pour ce que vous avez réussi.