Les derniers développements enregistrés dans le dossier de notre Sahara sont en droite ligne pour boucler un dossier vieux de plus 3 décennies.

Ce qui met à mal les plans expansionnistes d’Alger, d’autant plus que les législatives qui se tiennent au Maroc, du Nord à l’extrème Sud du Royaume, donnent des fantasmes à son rejeton, Abdelaziz Marrakchi. A la recherche d’un arrangement, celui-ci voguerait à vue, sans autre objectif que de se maintenir aux vagues dans une mer très agitée pour lui au moins.
Domicilié dans un no man’s land de sables mouvants, il s’accroche à une chaise délabrée.

Sa dernière sortie boucle le grotesque. La lettre qu’il a adressée aux Nations Unies en est une affirmation palpable. Il a du mal à admettre que nos citoyens des provinces du sud, comme tous les Marocains, vont s’acquitter tout simplement de leurs droits patriotiques en se déplaçant vers les urnes de vote.

Surtout qu’aujourd’hui, la population sahraouie d’origine marocaine séquestrée dans les camps du déshonneur, s’est rendue compte que Mr. El- Marrakchi est un chef sans dessein, sans pouvoir et sans futur et d’ailleurs sans scrupule.

Preuve en est le plan de travail qu’il a préparé pour ses pairs lors des discussions de Manhasset et qui a, bien sûr, été validé par le père biologique…. Celui-ci peut se résumer en allégorie suivante: on ne peut bâtir une maison sans avoir fait un dessin au préalable ou partir en voyage sans avoir prévu son chemin.

Des deux réunions de New York, il en ressort donc que les hommes de Bouteflika sont incapables de morceler et que leurs agissements semblent être bloquées dans l’attente de nouvelles directives de la hiérarchie de la dictature archaïque(Algérienne évidemment).

Dans ces conditions,les agissements que la délégation polisarienne optera lors de la prochaine rencontre serait peut être «assainie» et plus conforme aux désirs de la communauté internationale qui a perdu sa patience de voir ces énigmes se comporter comme des hors la loi.

Pour l’heure, Alger leur a retiré tout atout dans le domaine de débats réels. Dans ces situations, les supplétifs d’Alger seront dans l’obligation de se lancer dans une campagne de désordre qui aura un effet renversant par la suite.

Et Il faut bien admettre que les mercenaires du polisario vivent dans l’angoisse au point qu’ils craignent un< tsunami> destructeur. Et s’attirer la colère du résident du palais n’est pas écrit sur leur agenda maintenant.

Ce serait mettre en cause l’existence autoritaire de la secte de mercenaires, quoique celle-ci soit déjà mise en rapport par les membres du Conseil de sécurité.

Un changement de discours de ladite messagère serait également faire montre de manque d’attachement envers ceux qui lui ont donné existence et conduite dans sa carrière d’éléments subversifs.

Dans ce contexte, on touche le penchant du contestable de cette crise d’artifices algériens.
Aussi, la clique de mercenaires n’est pas totalement fautive. Reste à savoir si avec le temps, l’horloge parentale aidant, l’évolution du dossier sera autre.