Au cours de cette semaine caractérisée par les rentrées,l’association ZELLIJA a accueilli une délégation francaise venant de CENON FLORIAC avec à sa téte

le maire Alain David et ses collaborateurs qui ont marqué l’événement par l’action noble et caritative qu’ils ont entreprise

PAR AILLEURS, LA MISSION HUMANITAIRE AU PROFIT DES ENFANTS DE ZELLIDJA,Qui  S’EST EFFECTUEE  DU 15 AU 24 SEPTEMBRE 2012 A EU UN PROGRAMME BIEN CONDENSE:En effet, Aprés l’arrivée au port de beni nsar(Maroc)et déchargement et opérations de Douanes Marocaines,le groupe s’est dirigé à sidi Boubeker pour distribuer à l’aide du personnel du centre social les jouets pour enfants y compris un balançoire dans la cour de l’association.

Par ailleurs, cela a été suivi de distribution des vêtements et jouets à 50 enfants, et de la collation à tous les participants.

A oujda le groupe s’est rendu à la maison de retraite pour distribution du matériel paramédical avec Mr Benali Sadequi puis visite de la maison de retraite et distribution de 3 fauteuils roulants, déambulateurs et pour finir collations avec les résidents et le personnel.

A la fin de leur mission le groupe est allé visiter les sites touristiques de la région d’Oujda (oasis de Gafait, Zegzel, Grotte des pigeon, et les sites de la ville de Oujda).

A rappeler que les enfants de zellidja est une association à caractère social, elle a été  créée en 1997. le nom « Zellidja » vient des anciennes mines de ZELLIDJA, société fondée par jean Walter, la domiciliation du premier gisement fût au village de Sidi Boubeker situé dans la région frontalière du Maroc-Oriental. la mine qui a produit, pendant plus d’une cinquantaine d’année, du Zinc et du Plomb, a fermé en 1975 et le village a vu partir nombreux de ces hommes, femmes et enfants de tous bords mais, tous, ne l’ont jamais oublié.

Au début de la création de l’association, ses membres souhaitaient rassembler les anciens des villages éparpillés un peu partout au Maroc et dans le monde. En se rendant sur le terrain (Sidi Boubeker) solitaire ou en compagnie, les Boubekris se sont retrouvés petit à petit. Cela a permis à tous de se donner la main et aussitôt de la la nostalgie les Boubekris se sont retroussé les manches pour aider ceux qui habitent toujours le village, sauver ce qui reste et essayer de reconstruire ce qu’il y avait.