Le rendez-vous de cette fatidique date (7septembre) entre des ruptures à saluer et des pratiques à enterrer

Un mois Trois jours et quelques heures nous séparent du jour J. La ligne droite vers ce rendez-vous est d’ores et déjà entamée. Avec la touffeur, la hyperthermie touche également les oratoires politiques en lice. Presque la quasi-totalité des formations politiques ont étalé les grands traits de leur affiche appropriée. Des slogans dont la devise principale ne sont autres que l’éradication du chômage et presque tout le chômage SVP, et dans un proche avenir de surplus.

Au-delà des chiffres avancés et la lecture qu’on peut en faire, on retiendra pourtant que c’est la première fois de l’histoire des votes du Royaume que nos partis politiques traversent, pratiquement à l’accord, le pas d’avancer, non pas des slogans, mais des offres de programmes assez bien visés et, qui ont aussi la vertu de génie.

C’est dire que la proposition proclamée, pour les termes de septembre, constitue une rupture avec certains automatismes qui ont gravé nos mémoires, dans un temps pas très reculé, les démêlements électorales dans notre pays. Mais, il semble que certaines compositions, en panne d’idées initiatrices, résultent des propos qui nous renvoie à des années divinités. Conceptions également qui évitent l’important, qui n’est autre que le concours à affermir les acquis tout en évaluant de nouveaux souhaits pour le épanouissement de notre cher Royaume pays de tous les marocains.

Donc même que le principe du mécénat ne se limite aucunement aux personnalités, mais les dépasse pour concerner les projets, que l’on se marque en vue de répondre aux attentes de la société, toute la société ,cette société qui souhaite se réveiller tôt un matin, pour se trouver elle aussi sous un toit digne de son nom, qu’il avait acquis d’un salaire pharamineux, qu’il avait gagné de l’un de ces millions emplois, que nos politiciens nous proposent actuellement et sans broncher, un de ces jour lumineux dont-ils nous promet . Or, c’est à ce niveau-là justement, que la compétition politique trouve sa légitimité.