Doter la région de l’oriental d’un SRAT
C’est le but visé par la rencontre régionale sur l’aménagement et le développement territorial qua abritée la ville d’Oujda en présence du secrétaire d’état chargé du développement territorial, le wali de la région de l’oriental, les gouverneurs, le président du conseil de la région et le PDG de l’Agence de l »Oriental. De nombreux institutionnels, élus, acteurs locaux et représentants de différentes composantes de la société civile ont pris part aux travaux de cette rencontre pour engager une large concertation sur le devenir de l’oriental.
Ces travaux se sont articulés autour de 3 axes. De fait, 3 exposés ont été présentés : Evaluation du SDAR, démarche et étapes du lancement du SRAT et la nouvelle stratégie de développement rural.
Certes, ce rendez-vous, longtemps attendu, a permis aux participants de saisir la nécessité d’élaborer et de lancer un SRAT pour l’oriental ; dévaluer le SDAR et de concevoir une nouvelle approche pour le développement rural.
Nonobstant l’importance et la pertinence des exposés, lors des débats, la majorité des interventions n’étaient qu’un chapelet de revendications alors que les participants devraient constituer une force de propositions et d’alternatives. Pour asseoir une vision prospective de la vie et de l’activité dans cette région que le fonds du développement rural lui consacré 25 millions de dirhams.
Abdelfettah El Houmam, wali de la région de l’oriental et Ali Belhaj sont, plus que jamais, appelés à jouer le rôle d’incubateur pour fédérer toutes les synergies et les sensibiliser à harmoniser leurs visions et à coordonner leurs actions autour d’un projet territorial définissant priorités et déterminant actions alternatives dont l’opérationnalisation et la mise en œuvre feront l’objet d’un contract ETAT / REGION.
I l urge d’agir d’autant plus que la région de l’oriental dispose d’une feuille de route, d’une stratégie visionnaire à actualiser, à améliorer.
2 Comments
Si les textes ou articles de ce monsieur ont pour objectif d’informer le plus grand nombre de lecteurs et plus précisément les oujdis, je crains qu’ils ne répondent pas à cette visée. Ce monsieur doit pour ce faire:
1) mener la vulgarisation jusqu’au bout en explicitant pour la forme, les sigles et pour le fond les enjeux de ces dispositifs – sauf s’il s’adresse à certains initiés (qui eux n’ont pas besoin de ses explications puisqu’ils font partie du projet) mais ce monsieur pense caresser dans le sens du poil les « officiels » au vu de la débauche de noms et de compliments exemple « incubateurs » qui fait plus penser aux virus de la grippe A qu’à des personnes importantes portant ces projets(mais ne sait-on pas que les flatteurs sont tous des flagorneurs, ils traduisent inconsciemment des insultes en compliments).
2) je voudrais également attirer l’attention de ce scripteur sur la lourdeur de ses phrases,
le vocabulaire archaïque qu’il emploie, et les fautes de syntaxe qui rendent son discours inintelligible: pour moi « CE QUI SE CONأ‡OIT BIEN S’أ‰NONCE CLAIREMENT ».
3) enfin je pense que ce monsieur souffre d’une « jargonaphasie » et je lui conseille pour s’en guérir de consulter au plus vite des experts en la matière (ils pullulent en ce moment) car son incompétence nuit à notre lecture.
CRITIQUE, REGLEMENT DE COMPTE OU EXTRAPOLATION ?
Quelle ne fut grande ma surprise de me voir taxé de flatteur « qui caresse dans le sens du poil » et d’incompétent qui dois pallier à mes déficiences lexicales, syntaxiques et ma médiocrité rédactionnelle qui rend inintelligible ma production.
Certes, je reconnais ne pas avoir fait attention à quelques fautes d’inattention : l’apostrophe dans « qu’a abritée…., d’évaluer…. Ou l’accord sujet / verbe ; la majorité des interventions n’était qu’….. » Des erreurs que notre Jésus qui prêche la compétence et la vertu dans le désert linguistique et journalistique, n’ pas daigné mentionner dans son commentaire.
Le bouquet !
L’auteur du commentaire me taxe de flatteur qui caresse dans le sens du poil. Pourtant, j’ai souligné que le wali et le président sont APPELE à jouer le rôle d’incubateur parce que si le SRAT concerne tous les acteurs locaux, il doit être piloté par la wilaya et le CRO comme dans toutes les régions du pays. Autrement dit, wali et président du conseil de la région ont le devoir de jouer ce rôle !!!!!! De fait, je vois mal le bien fondé de cette critique, l’unique qu’est parvenue à OUJDACITY suite à la publication de l’article.
L’auteur du commentaire me somme aussi d’expliciter sigles et enjeux des dispositifs alors qu’il ignore complètement les enjeux supposés ou avérés de l’aménagement territorial.
Toutefois, une chose est certaine. L’auteur du commentaire est de mauvaise fois. Il n’a aucune intention de corriger, de remettre à l’ordre, voire de dénoncer des dérapages. D’abord, dans tout son texte, il ne m’a cité que par le terme Monsieur, scripteur (1 fois), les pronoms il et lui, ou les possessifs son et ses. Pourtant, L’article est signé Mohammed Zerhoudi alors que lui n’a pas osé révéler son identité.
Que notre ami sache que je suis bien connu par la quasi-totalité des enseignants (tout cycle d’enseignement confondu) en tant qu’ex professeur de français et que j’ai travaillé avec les meilleurs journaux structurés du Maroc.
Que mon ami qui me connaît bien, soit sûr qu’il n’arrivera jamais à m’instrumentaliser, comme il l’ a fait avec d’autres confrères, pour qu’il parvienne à ses desseins mesquins.
J’ai milité dans le domaine politique depuis mon jeune âge, j’ ai exercé le métier d’enseignant pendant 29 ans et je suis journaliste depuis plus d’un quart de siècle.