Au lancement du projet »les Jardins de Moulouya », FADESA a fait preuve d’un empressement et d’un professionnalisme sans faille dans le traitement des dossiers des candidats aux logements économiques sur plan et maquettes. Etait-ce juste de la poudre aux yeux? Aujourd’hui, quatre ans plus tard, c’est la sourde oreille, la langue de bois si ce n’est tout simplement la chaise vide. Autre temps, autre réalité, autre comportement: il n’y a que les idiots qui, paraît-il, ne changent pas. Cela dit en passant, on s’attendait à un changement tout à fait autre, mais bon…….,,, Conséquence: entre hier et aujourd’hui, les acquéreurs en attente d’acquisition- nouveau concept à intégrer dorénavant dans le rayon « achat d’immobilier sur plan »- sont désabusés et ne savent plus ce qu’il faut croire devant l’absence impudique d’interlocuteur crédible à même de leur fournir une explication tout aussi crédible. La moindre des choses que les acquéreurs en instance d’acquisition sont en droit d’attendre de leurs contractuels est que ces derniers fassent preuve de la même attitude, du même empressement et du même professionnalisme, si ce n’est plus, qu’ils ont manifestés lors du traitement de leurs dossiers et de l’encaissement de leurs versements et échéances ; ce qui aurait été conforme à l’esprit d’éthique , d’honnêteté et de morale qui commande à toute opération commercio-immobilière de cette dimension!(des centaines de citoyens nationaux et RME sont concernés quand même!!!) Serait-ce trop demander à GROUPE FADESA MAROC?

Par ailleurs, à la suite de mon premier billet sur le même sujet, et partant du rôle informatif,mobilisateur et sensibilisant de la presse, j’ai  contacté quelques moyens d’information,ou leurs correspondants, pour voir avec eux la possibilité de médiatiser un peu plus ce dossier, vu son importance. Grandes ont été ma surprise et ma désillusion!!!Il fallait, paraît-il, je ne suis pas journaliste ou correspondant pour dire ce qu’il en est, être plus d’une personne, des justificatifs à l’appui ,  pour faire bouger les …choses, comme si on allait calomnier je ne sais pas qui!!! A l’évidence, le chantier de Saidia désespérément au point mort et les squelettes d’acier et de ciment, tristement gris et inachevés, visibles à perte de vue ne sont pas, à eux seuls, suffisamment évidents pour inciter les concernés par le projet ou par la recherche de l’information à se bouger et pour tirer les responsables du chantier de leur sommeil, sommeil qui m’a tout l’air d’être comateux !!!C’est désespérant! A mon sens, il appartient au journaliste de dépoussiérer les dossiers poussiéreux ou « sales »et d’aller à la rencontre des faits et de l’évènement. Quand je pense aux correspondants de la presse internationale……. Ce que veut le  commun des mortels , c’est juste une information, d’où qu’elle vienne, mais une information citoyenne et crédible. C’est un droit, ou je me trompe?