Personne ne peut nier les améliorations urbanistiques positives que connaît la ville d’Oujda ces dernières années. Il est en effet indéniable que ces opérations lifting se passent inaperçues :revêtement des chaussés, création de jardins flambant neufs, aménagement et rénovation des routes….
Cependant, certains points noirs de la ville heurtent la sensibilité du citoyen qui aime sa ville: C’est le cas de la décharge en plein air de Lazaret. Celle-ci est située en pleine agglomération. Le malheur c’est qu’elle est à proximité du centre de soins de lazaret et juste en face de la RADEO deux institutions, qui en principe sont l’exemple même   de l’hygiène et de la propreté .Hormis les odeurs nauséabondes que cette décharge dégage, elle  favorise la multiplication des mouches et des moustiques réservoirs et vecteurs de maladies et d’inconfort des habitants et des consultants du centre de santé à sa proximité.
Au lieu de cette décharge, les malades consultants ont droit à un petit jardin  florissant et digne de cet emplacement.
Et dire, qu’avec la société  » SITA EL BIDA  » tout est devenu beaucoup plus propre qu’avant.
Alors, à quoi est due cette omission ? Même si les habitants eux même ont une part non négligeable de responsabilité.