Le soutien à un escroc marocain qui interroge !
En diffusant, le 03 décembre 2014, une news relative à une plainte déposée, le 02 décembre 2014, au tribunal de Nanterre par le sieur Zakaria Moumni pour « menace et atteinte à l’intimité de la vie privée », l’Agence France Presse (AFP) vient une nouvelle fois de faire la démonstration claire et nette de ses positions anti-marocaines.
La dépêche mise en ligne par cette agence de presse française, grabataire et à la traîne sur les plans de l’information politique et économique, sous le titre insipide « Kickboxing : un ancien champion se dit menacé » n’est en fait qu’un fol espoir de redorer son blason et de récupérer une crédibilité qu’elle a totalement perdue auprès de son lectorat et des autres agences de presse internationales.
En lisant de près la dépêche AFP, force est de constater qu’il y a eu violation des règles implicites de l’information qui demandent de placer en tête des dépêches l’information principale et non en fin de dépêche.
Une entorse à la déontologie de l’information qui prouve que l’affaire Moumni n’est qu’un prétexte à des règlements de compte orchestrés par certaines parties françaises et autres afin d’attiser l’incendie diplomatique entre le Maroc et la France en s’attaquant une nouvelle fois au Directeur Général de la Surveillance du Territoire marocain, Monsieur Addellatif Hammouchi.
En colportant les ragots de ce maître-chanteur qu’est Zakaria Moumni, et en les présentant comme une vérité, l’AFP a fait preuve d’une légèreté déconcertante.
Cette vieille dame, 70 plombes quand même, n’a même pas pris soin de vérifier les assertions de Moumni à savoir obtenir la copie de la lettre adressée au Souverain marocain dans laquelle il sollicitait une enquête sur des soit disant faits de tortures, et celle qui stipule que l’Audience Royale lui a été accordée et qui n’a pu avoir lieu.
Pis, l’AFP ne manque pas de présenter l’origine du grave incident diplomatique entre la France et le Maroc comme une simple convocation de police alors qu’un détachement de policiers français s’étaient rendus, en février 2014, à la résidence de l’Ambassadeur du Maroc à Neuilly-sur-Seine pour tenter d’interpeller manu militari le le patron de la Direction Générale de la Surveillance du Territoire comme s’il s’agissait d’un dangereux terroriste.
Ce Zakaria Moumni, spécialiste de haut vol du racket et bodyguard à ses heures perdues d’un Prince marocain en mal de notoriété, ne fait, en déposant sa nouvelle plainte sur des pseudo menaces relatives à la diffusion 58 vidéos, photomontages pornographiques le mettant en scène avec son épouse dans la chambre de l’hôtel de Rabat où ils étaient descendus soit disant à l’invitation des autorités marocaines en mars 2013, qu’une énième tentative d’extorquer à l’Etat marocain la somme de 4.9 millions d’euros pour s’offrir une salle de sport à Paris.
En conclusion, en publiant cette dépêche, l’AFP a sauté à pieds joints sur cette offrande nauséabonde de Zakaria Moumni pour discréditer des responsables marocains qui ne se laissent nullement intimider par les pratiques néo-colonialistes de certains responsables français, qui, en paraphrasant le joueur de football Emmnuel Petit, sont « arrogants, suffisants menteurs et hypocrites ».
Le fond et la forme de cette même dépêche confirment que cette agence de presse s’est transformée en caisse de résonance pour les anti-marocains en publiant, et c’est devenue sa spécialité, des articles tendancieux envers le Maroc et ses institutions.
Le Directeur Général de la Surveillance du Territoire, Monsieur Hammouchi, n’en déplaise à ces responsables français, est l’un des meilleurs experts mondiaux de la lutte anti-terroriste et un allié de premier ordre pour les services de renseignement occidentaux dans leur guerre contre la terreur.
Une expertise qui lui a valu, d’ailleurs, la plus haute distinction du Royaume d’Espagne.
Une nouvelle bévue des autorités françaises, coïncidant comme par enchantement, avec la venue en France du Premier Ministre algérien, qui aura pour conséquence d’accentuer vivement la tension entre Rabat et Paris au moment où la lutte internationale contre les terroristes de DAESH et autres mouvements jihadistes appelle raisonnablement au rapprochement et à la coopération sécuritaire étroite entre pays alliés et amis.
Aucun commentaire