Les Services de Sécurité marocains sauvent deux fillettes françaises des griffes de DAESH
Suite à la vigilance des services de sécurité marocains, un ressortissant marocain résidant en France a été interpellé, le mercredi 15 octobre 2014, à l’aéroport Mohammed V de Casablanca, alors qu’il tentait de rejoindre le groupe terroriste DAESH, via la Turquie
Ce nouveau succès dans la lutte anti-terroriste menée par le Maroc confirme l’expertise et l’efficacité de ses Services en charge de veiller à la sécurité des biens et des personnes.
Toutefois, ce ressortissant marocain, candidat au jihad, n’était pas tout seul. Il était accompagné de ses deux fillettes, âgées de 04 et 02 ans, et d’une autre ressortissante marocaine.
Les deux fillettes, ressortissantes françaises par leur mère, ont rejoint le Maroc avec leur père, alors que ce dernier était pointé par les services de sécurité français comme un activiste jihadiste et qu’il faisait l’objet d’un contrôle judiciaire.
Aussi, une question se pose logiquement : comment un tel individu, connu des services de sécurité français, a-t-il pu quitter aussi aisément l’Hexagone avec ses deux fillettes, ressortissantes françaises ?
N’y a-t-il pas eu, dans ce cas la, preuve d’une défaillance des services de sécurité français en charge de la lutte contre le terrorisme, au moment où le plan Vigipirate est appliqué ?
Quant à l’accompagnatrice marocaine, présentée par les médias comme épouse de ce terroriste, il faut préciser que le mariage « orfi » n’est pas reconnu au Maroc. C’est un acte illégal, qui n’est usité que chez les chiites et les salafistes, mais aussi en Algérie.
En conclusion, deux fillettes françaises ont été sauvées de l’horreur par les sécuritaires marocains et retrouveront bientôt leur mère en France.
Quant aux responsables français, on ne peut que leur recommander de s’atteler en urgence à réviser leurs procédures sécuritaires qui présentent de nombreuses failles, afin d’éviter à l’avenir un pareil loupé qui met en péril la sécurité des citoyens français et de la France.
Aucun commentaire