Son de l’appel à la prière, ou son de l’appel à la fête. Quel son doit on diminuer?!
Dans un pays où tout est permis et où l’ouverture d’esprit est salué de tous. On ne peut s’attendre à un refus au niveau des lois régies par un gouvernement qui maitrise déjà les différents propos qu’il avance au niveau islamique. Des lois qui respectent les piliers de notre religion et qui sont reformulés sous une nomination de droits de l’homme et de la Moudawana. On félicite certes tous les efforts fournis par les responsables pour cette nouvelle version, mais on ne comprend certainement pas des réactions qui ne prennent en considération ni l’accord à l’unanimité des citoyens, ni le risque de la perte de nos valeurs qui proviennent du saint coran. Une décision qui n’a étonné personne et qui a donné lieu à un débat autour des causes qui pousserait un fquih à diminuer le son. Des causes qui ne relèvent ni de nos moeurs ni de nos valeurs. Comment peut-on réagir face à cette insouciance qui se développe chez nos jeunes citoyens face à la pratique de leur religion et face au respect des hadiths de notre prophète -paix et salut soient sur lui-qui ne faisait auparavant en aucun cas sujet de débat.
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