Idées élitistes et amèrement outrancières, languissantes nouveautés ubuesques tonitruées au Parlement.

Prétendument parole majeure d’un certain Monsieur B que j’appellerais d’ores et déjà B, faisant appel à son image désormais prête à se décliner, s’éclipser, tomber si  du moins ne l’est pas déjà.

Trop de points d’exclamation s’imposent à l’esprit de l’élite consciente, que je considère de ce point de vue, avec tous les respects qu’elle exige, sacro-sainte. Des points qui, avec toutes les transgressions que le langage nous doit, ou que nous devons au langage, sont calamiteux.

B venant envenimer la politique, esquinter la vie d’un PEUPLE tarabusté, il y a d’ici plus que 2 années…Son imposition de quelques projets titanesques n’a que des échos lilliputiens. Il fallait le dire à voix haute, B est emplâtre, en usant un peu de familier à sa manière. Il n’a révélé dès sa présence qu’une attitude revancharde constituant de mon point de vue une atteinte à la morale, à la liberté, bref à la démocratie.

Quant à la mémoire de B, c’est une « image-marque »  mais au sens négatif, pas à celui que lui donne peut-être Gille Deuleuze. Oui, il faut l’avouer, c’est une image exigüe, représentant de l’ineptie, au demeurant, le moindre que je puisse dire. Toute façon souillant la dignité est réfutée, interdite, bannie, au nom des valeurs avant celui de la loi, je vous le fais entendre/lire, mais sans employer les termes obscènes que vous énoncez à la hâte, vous qui profitez de l’aubaine de LEUR inconscience.

Heureux est ce « leur » des inconscients, car votre vision malsaine, dérogée, erronée et surtout subalterne l’a bel et bien exhibée. Dorénavant tout le monde vous connait. Tout le monde connait votre hypocrisie d’où émane une espèce de putridité d’un cœur affamé quant à la richesse. Toutefois, la richesse ne réside pas dans les poches, plutôt dans les cœurs, dans les âmes sacro-saintes, qui sont indéniablement les nôtres…

De conclure, permettez moi de vous dire que vous manquez de scrupule, car vous êtes sans foi ni loi. Touchant à sa fin, mon intervention n’était pas un borborygme, je l’espère, mais un message flamboyant d’un offensé à un offensant qui a fait preuve d’un expert  des comportements irrévérencieux et surtout d’un totalitarisme sans précédent.

DE VIVE VOIX :  HAMDAOUI Jawad