Une entame de l’année 2014 en fanfare pour les algéro-polisariens
Il est vrai que la nouvelle année est accueillie avec joie, chansons, coups de klaxon, feux d’artifices mais dans ce cas de figure, les responsables algéro-polisariens se sont reveillés avec une gueule bois.
Ils venaient d’apprendre que le Paraguay allait officialiser sa rupture avec le pseudo RASD et annoncer le retrait de sa reconnaissance de cette entité fantoche.
Le communiqué officiel est finalement tombé comme un couperet le 03 janvier 2014 et les termes utilisés sont des plus abruptes pour les dirigeants algéro-polisariens qui en sont pour leur frais.
Dans ce communiqué, le Ministre paraguayen des Affaires Etrangères, Monsieur Eladio Loizaga Caballero, déclare que les effets juridiques de ce retrait de reconnaissance du polisario et du pseudo RASD «se traduisent par l’annulation de toutes les conventions signées auparavant avec l’entité fantoche, notamment l’accord signé à New York en février 2000 et la « Déclaration conjointe » paraphée à Asuncion le 18 août 2011, et la rupture de toutes les relations diplomatiques avec le front séparatiste».
Une décision sage et constructive de l’Etat du Paraguay en totale conformité avec les résolutions onusiennes, notamment la N 2099 adoptée en avril 2013.
Il ne reste plus qu’au pseudo ambassadeur de cette république fantôme à faire ses valises, à fermer sa boutique à Asunsion et à prendre rapidement le premier vol pour Alger pour rejoindre ses maîtres tout comme l’a fait son compère du Panama.
Avec cette décision du Paraguay, les responsables algéro-polisariens doivent se rendre à l’évidence que les «carottes sont cuites» et comme je l’ai dit dans un précédant papier titré «Il était une fois la RASD», tout conte fée à une fin. Il en est de même pour cette entité créée de toute pièce par Boumedienne et son ami Kaddafi.
Dur début d’année 2014 pour les responsables algéro-polisariens avec cette nouvelle victoire diplomatique marocaine. Une victoire qui en annonce d’autres.
Sale temps pour les stratèges algériens qui trainent une gueule bois depuis le 1er janvier 2014 et que même les psychotropes, dont leur pays en est le premier producteur, exportateur et consommateur mondial, ne suffisent pas à apaiser. Ils devraient faire appel à Terence Hill, virtuose des «allers-retours», pour qu’il leur administre son remède percutant afin qu’ils comprennent que le conte de fée est terminé.
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