Il était une fois la RASD
Non, je rassure les lecteurs, il ne s’agit pas d’un conte de fée pour enfants, mais l’histoire d’une bande de crapules de grands chemins, créée, hébergée, financée et armée, par un pays qui rêvait d’en découdre avec son voisin de l’Ouest par mercenaires interposés et que racontent sempiternellement ses autorités à son peuple en guise de berceuse pour atténuer son désespoir et ses souffrances.
Je parle ici du groupe terroriste du polisario et de l’Algérie, qui a, depuis son indépendance en 1962, voulu affaiblir le Maroc sans, d’ailleurs, y parvenir.
Mais, aujourd’hui, et heureusement, ces enfants algériens ont grandi et la technologie moderne de l’information a permis de faire la part du vrai et du faux ou en quelque sorte séparer le grain de l’ivraie.
Même la communauté internationale, les organisations internationales, les ONG’s et Associations, les Etats, à l’exception de quelques irreductibles pays staliniens ou dictatoriaux, et de l’Union Africaine, seule institution continentale à croire encore aux contes fées, se refusent à accorder une quelconque légitimité à une créature sortie du néant et qui met dangeureusement en péril la sécurité internationale en raison de ses connexions avérées avec Al Qaida au Maghreb Islamique et autres groupuscules terroristes et criminels qui pullulent dans la bande sahélo-saharienne et dans le territoire algérien.
C’est pourquoi, conscients du danger que représente ce pseudo RASD plusieurs Etats africains viennent de décider de le bouter hors de leur organisation qu’est l’Union Africaine.
Une sage décision qui, à ne pas en douter, lui redonnerait toute sa crédibilité au plan international et favoriserait le retour, par la grande porte comme il en est sorti, et avec les honneurs, parmi ses pairs du Royaume du Maroc, un de ses fondadeurs.
Un retour du Maroc exprimé et attendu avec impatience par la très grande majorité des pays africains.
Une demande ferme en ce sens sera présentée par de nombreux pays africains et une décision pourrait être prise lors du Sommet de l’organisation pan-africaine qui se tiendra au Gabon fin janvier 2014, réparant ainsi l’ignominie de l’admission d’un usurpateur, rétablissant les droits historiques et légitimes du Maroc sur ses provinces sahariennes et permettant au Royaume du Maroc de reprendre son siège parmi ses pairs africains.
D’ailleurs, l’Envoyé spécial du Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Christopher Ross, ayant très bien compris le jeu machiavélique et perfide des autorités algéro-polisariennes, a décidé de mettre hors-jeu l’Algérie des prochains pourparlers, programmés en Suède fin janvier 2014, entre les négociateurs marocains et ceux du polisario afin de trouver le plus rapidement une solution à ce conflit artificiel et ce, conforment à la résolution onusienne qui valide la proposition marocaine et la considère comme crédible, viable et juste.
Une réunion, d’ailleurs, confirmée le mardi 31 décembre 2013 par le pseudo coordinateur du polisario avec la MINURSO, Mohamed Kheddad.
Les responsables algériens devraient savoir que les contes de fées prennent fin une fois que les enfants dorment ou grandissent et deviennent matures.
L’endoctrinement stalinien, auquel ils ont été soumis n’a plus cours sur les générations d’aujourd’hui et il est temps pour eux de transmettre le flambeau à une jeune génération qui ne demande qu’à travailler pour leur pays et à construire d’excellentes relations avec leurs voisins.
Mais pour y arriver, ces responsables algériens doivent se défaire de ce cordon ombilical qui les lie à ce conte qui leur a été transmis par leurs prédécesseurs car toute histoire enfantine à une fin.
Vous avez créé le polisario et le pseudo RASD, à vous, autorités algériennes, de faire le nécessaire afin que puisse s’effacer cette arnaque du siècle.
Comme dans tout conte fée, il y a un début et une fin, celui du pseudo RASD ne peut déroger à cette règle immuable.
1 Comment
C’est très mal écrit. Mais alors un exercice de style de très très mauvais goût . Sur le fond,attendant la fin du mois de janvier pour voir si les supputations de notre « journal eux » vont se vérifier