Le polisario menace l’Europe et la région du Maghreb
Fortement déstabilisés par les échecs cuisants sur le plan international, les responsables algéro-polisariens viennent, ce mercredi 11 décembre 2013, de franchir la ligne de l’inconcevable et de l’intolérable.
En effet, suite au vote, le 10 décembre 2013, par le Parlement Européen de l’Accord de Pêche Maroc-Union Européenne, le soit-disant représentant du polisario en Europe, Mohamed Sidati, actionné par des autorités algériennes, a sans retenu menacé l’Europe et la région maghrébine d’embrassement si cette haute institution européenne n’annulait pas son vote.
Une grave menace qui suppose que des agents du polisario, déjà installés en Europe, sont fins prêts à perpétrer des actes de terrorisme et de déstabilisation à grande échelle et n’attendent que le feu vert de Tindouf et d’Alger pour passer à l’action.
Il est vrai, que malgré les sommes faramineuses investies par les pontes algéro-polisariens pour s’opposer à la ratification de l’Accord de Pêche, ce dernier a été adopté par une très large majorité amenant les dirigeants polisariens et leurs mentors algériens à proférer des menaces qui ne peuvent que susciter désapprobation et indignation.
Pour rappel, Mohamed Sidati est le fils d’un magistrat marocain et le petit-fils du Cheikh Ahmed Al Hiba qui s’était battu pour l’indépendance du Maroc sous le protectorat français. Une filiation qui confirme à elle seule que le Sahara marocain n’a jamais été « terra nullius» et que les tribus sahraouies avaient des liens d’allégeance avec les Sultans du Maroc.
Ce même Mohamed Sidati est également connu pour son acharnement à vouloir déstabiliser l’ensemble de la région du Maghreb et de la zone sahélo-saharienne.
Un comportement qui avait été dénoncé par le Collectif International pour la Vérité sur l’Algérie et le Polisario (CIVAP) qui avait qualifié Mohamed Sidati de membre du mouvement terroriste armé du polisario, soutenu par l’Algérie et installé sur le territoire algérien.
Aussi, par ces nouvelles menaces du polisario sur la sécurité et la quiétude des populations, tant en Europe qu’au Maghreb, il est devenu clair que les pays européens, africains et sud-américains, épris de paix et luttant contre le terrorisme international, devraient prendre des mesures urgentes contre les agents de cette organisation criminelle et sanguinaire présents sur leur sol à l’instar du Panama afin d’annihiler toutes potentielles menaces.
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