Le peuple marocain boude la manifestation de Casablanca
Certaines organistations et d’associations obscures n’ayant pas pignon sur rue avaient lancé un appel, via les réseaux sociaux d’internet, à manifester le 06 août 2013 à Casablanca en protestation à la Grâce Royale accordée, puis annulée, au ressortissant espagnol violeur d’enfants.
Cependant, cet appel incongru n’a pas été suivi par le peuple marocain qui s’est félicité de la ferme réaction de son Roi et qui considère que cette triste parenthèse est définitivement close après les sages décisions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI en l’objet.
Il est vrai que les trois communiqués publiés par le Cabinet Royal, la révocation du Délégué Général aux Affaires Pénitenciaires, l’arrestation en Espagne du monstre de Kénitra et l’Audience accordée par le Souverain aux familles des victimes témoignent de l’engagement fort du Roi du Maroc à poursuivre ses efforts inlassables pour garantir la protection de toutes les couches sociales, notamment les enfants et les catégories vulnérables, les prémunir contre toutes les formes d’exploitation vile et aller de l’avant sur la voie de la consolidation des choix et des grands chantiers conduits par lui.
Aussi, n’ont répondu présents à cette manifestation que quelques dizaines de personnes (200 au maximum), dont des barbus, des délurés du mouvement du 20 février et quelques pickpokets.
C’est dire la grosse déconvenue des parties hotiles au Maroc et à ses Institutions Sacrée.
Même la presse française, qui n’en rate pas une pour déverser quotidiennement son fiel contre le Maroc et son Roi, n’en a pipé mot.
Avec cet échec de l’appel à manifester, le peuple marocain vient de répondre poliment à la presse gauloise et de lui ordonner de s’occuper des affaires franco-françaises qui secouent l’Héxagone en lui signifiant un «circulez, il n’y a rien à voir».
Que la presse française sache qu’il n’y a pas eu revirement du Roi dans cette affaire, ni qu’il ait été acculé à prendre des décisions pour contenter son peuple.
Sa Majesté le Roi Mohammed VI a pris les décisions qui s’imposaient après avoir entendu les demandes du peuple et pris connaissance du dossier du ressortissant espagnol, Daniel Galvan Vina, le violeur d’enfants.
Le Souverain marocain, garant des droits de tout marocain et plus Haut Magistrat, a rétabli la justice au profit des petites victimes et de leurs familles, assumant ainsi toutes ses responsabilités en la matière conformément à la Constitution.
C’est pourquoi la manifestation de Casablanca a tourné en un défilé d’islamistes, de quelques adeptes du 20 février et surtout de voleurs à la tire.
Les forces de sécurité n’ont même pas eu besoin d’intervenir pour disperser le peu de manifestants. Face à l’ennui, les protestataires sont rentrés chez eux voir la télé ou sont partis à la Mosquée ou se sont attablés dans un café.
Triste soirée pour les ennemis du Maroc qui doivent enrager en constatant que la réaction des marocains et de leur Souverain face à cet affaire constitue une véritable démonstration de l’existence d’une réelle vitalité démocratique au Maroc et d’une parfaite symbiose entre le peuple marocain et son Roi.
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