Certains leaders de la gauche radicale progressiste avancent  la possibilté d’une alliance politique entre la congrégation Justice et bienfaisance et la gauche radicale afin de former un front ,consolider l’oppostion  et enclencher un processus de lutte contre les injustices,les inégalités, et la consolidation de la démocratie et précipiter des réformes et des changements politiques .

L’alliance pourrait-elle voir le jour?

Sur le plan théorique, il est probabe qu’une certaine alliance conjoncturelle puisse avoir lieu entre les deux formations de référence différente et contradictoire , il se peut que les deux camps concluent une alliance, se mettent d’accord sur un plan de travail sur un programme commun, une méthodologie ,s’engagent à coordonner leurs actions, à se fixer des objectifs communs ,de reléguer au second plan  et d’ajourner leurs différences idéologiques mais cette opération politique qui revêt un caractère important  est très complexe et nécessite des conditions difficiles à réunir .

Pour ce faire, mettre en oeuvre , réaliser et concrétiser leur éventuelle alliance, il faut que les deux formations politiques  fassent des révsions, des concessions, apprennent à coordonner leurs actions et asseoir un climat de confiance,à réunir  les conditions indispensables  à la réussite de telle alliance ce qui est tellement difficile à réaliser et  à concrétiser sans le consentement des bases, c’est pourquoi il est prémordial de mener une campagne de sensibilisation,d’explication,de concertation avec les militants, adhérents et sypmpathisants.La gauche radicale et les islamistes  de la congrégation » Justice et bienfaisance » doivent  convaincre  leurs bases et des citoyens de la légalité,de l’utilité   de la nécessité,  de travailler ensemble,de coordonner leurs actions et de mettre en oeuvre leur programme commun

.Réussiront-elles? Y parviendront-elles? Faut-il rappeler que les deux formations dont  les références,les objectifs sont différents opposés,contradictoires ont mené une expérience de lutter , de travailler ,de coordonner leu s actions politiques  au sein du mouvement du 20 février qui a  connu des revers,  un déclin, à cause des divergences  qui ont précipité son déclin ,sa fin . Cette eventuelle alliance ne vivra pas  aussi longtemps car elle ne sera pas soutenue  par les masses, les citoyens qui  hésitent  et craignent  s’y rallie car ils y voient  une alliance conjoncturelle, contre nature  ce qui réduira les chances de l’aboutissemnt de cette tentative de rapprochement pragmatique d’autant plus que la gauche radicale reproche à la congrégation son discours religieux ,ses représentations politiques conservatrices parfois anti démocratiquesIl n’est pa s exclu que des divergences aigues  latentes se manifestent persistent et provoque lle retrait de l’une des parties et par la suite la fin de cette éventuelle alliance.Les chances de réussite de ce ette  éventuelles alliance sont maigres et réduites.