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La médecine scientifique et vulgaire : Quel écart à l’égard ?

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La médecine scientifique et vulgaire :
Quel écart à l’égard ?
Mohamed BEN YAICH

Y a-t-il vraiment des contradictions fondamentales entre connaissance
scientifique et vulgaire ?
Avant de trouver la réponse opportune, d’abord il faut décrire la
vulgarisation, paronyme de vulcanisation, détachée de toute liaison
avec la science, terme purement spécifié.
Pour y aborder il sera nécessaire d’être vous-même vulgaire, sens
plus restreint de l’ignorance dans sa forme brute, discordance,
incohérence…
Depuis cette approximation, la connaissance vulgaire peut se combiner
avec la langue vulgaire,qui signifie le discours libre sans lexique ,
rhétorique,ni lien logique.
Cette image linguistique présente un théâtre favorable pour les
discours spontanés, paroles creuses, courtes méditations, enfin
pires jugements…
Donc, la vulgarisation peut être définie par un champ bourré des
informations désordonnées, usuelle quand même,où l’alternation
de la raison avec le faux savoir.
L’apprentissage dans ce cas sera une question de chance par
coïncidence, une sorte d’aveugle- sagesse qui mènera fatalement
vers l’incertitude et la douloureuse inquiétude.
Toute sagesse non basée sur des épreuves approuvés ,ni sens
clarifié ou concordance justifiée va sûrement nous enliser dans des
conceptions confuses et ténébreuses, de nuit la nuit .en
conséquence ;c’est de l’abstraite obscurité.
En dépit de ça nous nous demandons, est-ce que la connaissance
vulgaire présenterait toujours un oiseau de mauvais augures,ne
présage rien de bon ?
La réponse temporaire prendra lui-même une forme alternative,
pareillement au matelas des isolés !, une fois positive l’autre au
contraire.
Puisqu’il y avait des expériences et épreuves justifiées et
valables il n’y aura aucun inconvénient des les adopter comme
acquit et référence pour la société afin d’en profiter, tant
qu’ils soient admises scientifiquement.
La science méthodique ne s’opposera jamais à la connaissance
vulgaire  en cas d’intersection concrète et utile .le but sera donc
unifié pour les bonnes conséquences non les façons d’agir ou de
dire.
Le meilleur domaine, d’après cette déduction, qui doit embrasser
aimablement la connaissance vulgaire ; c’est, favorablement ; la
médecine au long terme .car celle-ci n’a aucun but hors
l’intérêt de l’humanité, et que sa valeur dépend de sa large
rentabilité qui doit être enfin, la guérison et le bonheur du
patient. Si la connaissance vulgaire peut, depuis ses primitives
procédures, assurer ce rêve il sera donc logiquement en intercession
avec la médecine moderne, présumée exclusivement scientifique.
Pour bien clarifier les  choses ; il faut d’abord identifier la
popularité en confusion de vulgarité. quand  on dirait popularité
nous rencontrons une série de termes parallèles aux sens, tout
amples et profondes .il y a eu la population ;le peuple ,populaire ,
peuplement etc. cela nous mènent objectivement vers la patrie ,le
patriote , citoyenneté, citadin et paysan,la civilisation et en fin
la communauté.
Nous sommes alors devant un héritage grandiose, un réseau entrelacé
par divers activités et expériences, léguées depuis des siècles
et époques.
Cet héritage bourré d’informations et événements ne doit jamais
être supprimé de l’idéal et la conscience gravée au fond
populaire.
Ses accumulations présentes dans les coutumes et traditions pourront
être automatiquement scientifiques à cause des ses persistances,
bien plus, ses efficacités qui jouaient toujours en faveur de telles
ou telles populations.
C’est une connaissance alors ; qui a conservé sa légitimité de sa
propre nature , simplicité ainsi que sa rentabilité.
Le rôle de la science ne prétend qu’à ce résulta, c’est
d’être utile et avantageuse  à l’égard de la société humaine
et son environnement, rien de plus.
A ce point là, s’entrecroisèrent la connaissance scientifique,
terme purement scolaire, et la populaire .cette dernière n’est
finalement qu’un ensemble d’expériences et procédures
appliquées par coïncidence et admises collectivement, siècle après
siècle, comme une écriture gravée sur une pierre.
Donc la connaissance vulgaire peut être une matière particulière
pour la populaire, ou plutôt ,brut pour la scientifique.
Limage logique, approximatif, qui relie les unes aux autres est une
simple transitivité mathématique, qui s’ordonna de cette façon :
Vulgaire   populaire    scientifique, le résulta sera
donc :
Vulgaire scientifique, ou plus précisément :
Médecine vulgairo- populaire  médecine moderne.
Cette transitivité peut se transformer en symétrie qui
s’équivoquera  naturellement selon les conditions et obligations :
Vulgaire       scientifique.
Rappel : pour être un très bon médecin, ideal, vous devez adopter
une belle croyance et attitude, soit religieuse, qui est la plus
tolérable dans le domaine, soit une conception raisonnable qui tend
à préserver un espace intellectuel et émotionnel dans son Moi
profond.
Un médecin qui ne tiens pas une telle portion ne sera, risquons le
terme, qu’un simple technicien, ou plutôt un bon mécanicien !!!
Un médecin qui n’a pas appris l’histoire médicale au sérieux ne
sera jamais intéressé à l’histoire de son propre patient !
Le triage de la vulgarisation aux dispensaires et circonscriptions
était toujours une efficace moyenne pour dépister les épidémies et
les maladies provoquées collectivement.
Hippocrate n’était-t-il pas un philosophe avant qu’il soit
médecin ? Que deviendrait –il son sermon à présent ? Et Avicenne
qu’en dites- vous ? Nous serons de retour, à bientôt…

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