Il était une fois des inséparables
Il était une fois des inséparables
Avant de commencer ce petit conte , j’ai le plaisir de juger pourquoi avoir choisi le mot ( Inséparables* ) . Mes condisciples et moi dans un temps du passé , nous étions ces petites perruches qui vivaient , tous au dépendant du groupe .
Pas un jour ne passait sans que nous nous rencontrions . Libres de l’école , des punitions et sanctions de nos instituteurs , c’était n’importe quoi et n’importe où , bons et mauvais actes : vol des olives et des oranges les nuits glaciales de décembre et janvier dans les vergers non loin du village . En été , c’était la cueillaison clandestine des figues , de poires , de pêches , d’abricots , et de grappes de raisin . Parfois des œufs ou mêmes des poules : une bande de morveux , qui malgré tout , ignoraient le mal et la criminalité , sur nos visages courait une innocence infinie . Il arrivait parfois de faire des choses honteuses et inavouables , par exemple , réaliser l’orgasme sexuel dans la paume de nos mains .
Mêmes les morts dans leurs tombes , nous les avons infligés et leur causé dessupplices , je me rappelle avoir fait par le groupe une pissée collective sur la tombe d’un homme qui nous insultait de passage étant encore vivant . Le malheureux gagnait son champ à dos d’une vieille ânesse et nous le provoquions en l’appelant : ( Aveugle !!! Aveugle !!! ) . Alors , il perdait conscience et distribuait un langage abusif , immodéré et démesuré , tandis que le groupe éclatait de rire .
Au contraire , à l’école , c’était l’honnêteté , le sérieux , le respect et l’apprentissage continuel des connaissances .
Demain , au jour du jugement et résurrection , je suis sûr que nous le paierons cher Grand Dieu , excuse et pardon , vous êtes pardonneur et miséricordieux .
*(Les inséparables) : Petites perruches , originaires d’Afrique et de Madagascar, qui ne survivent en captivité que par couples .
Mr.OUHNI AHMED / correspondant-journaliste
2 Comments
je ne peux pas t’oublier. j’arrive pas à supporter ton absence. appele moi, écris moi un message.tu me manques énormement. tu sais, ma mère est venue du omra, je ne t’ai pas oublié, je t’ai résérvé ta part de cadeau. je ne t’oublirai jamais jusqu’au dérnier souffle de ma vie.
j’arrête pas de voir à ta photo.
hram aalik taaddabni.
hram aalik tu laisses mon coeur suspendu.
hram aalik tu m’as laissé poser mille et une question, sans trouver de réponse.
hasbiya allah wa nieema lwakil.