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IFRANE: Le septième Spring Institute International

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IFRANE :
La Faculté des lettres et des Sciences Humaine Fès Saïs et
L’agence nationale de lutte contre l’analphabétisme
Organise
« Le septième Spring Institute International »

 

Le Département de psychologie appliquée avec l’Observatoire de l’apprentissage tout au long de la vie et la Chaire UNESCO de la Faculté des lettres et des Sciences Humaine Sais Fès relevant de l’Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès en collaboration avec
L’agence nationale de lutte contre l’analphabétisme et Avec l’appui du
DVV international et la commune urbaine d’Ifrane organisent : « Le septième Spring Institute International ».
Prévu du 27 au 29 Mai 2022 en cours sous le thème : « Quand l’apprentissage tout au long de la vie fait appel à la psychologie appliquée et les sciences sociales », cette rencontre scientifique vient proposer des réflexions, afin de penser à des outils qui feront de l’université classique, une université plus citoyenne et en phase avec son écosystème.
Elle s’articulera sur différents axes de discussion dont notamment et entre autres : Un curriculum d’apprentissage tout au long de la vie relatif aux savoirs universitaires, la Psychologie appliquée et bien-être : un exemple de savoir à communiquer au-delà des murs de l’université et enfin, la Sociologie, travail social et questions sociétal
Selon les organisateurs de ce septième Spring Institute International, Combler le fossé entre la psychologie appliquée, le travail social et l’apprentissage tout au long de la vie constitue le moyen idéal pour faire en sorte que l’université s’ouvre sur son environnement et partage les connaissances qui naissent à l’intérieur de ses murs.
Aujourd’hui pour eux, il devient important de se demander si, en tant qu’académiciens, ils devraient consacrer leurs connaissances exclusivement au périmètre de leurs universités, et admettre de ce fait que la complexité des connaissances et l’abstraction des savoirs demeurent le meilleur critère d’une production scientifique rigoureuse. Ou si, à l’instar de l’université mobile et populaire, il serait judicieux qu’ils s’inscrivent dans la perspective d’un apprentissage tout au long de la vie, visant à diffuser le savoir universitaire à grande échelle et à en faciliter l’accès.
La question sous-jacente qui s’impose dans ce cas précise-t-on, est celle de savoir quel type de savoir le citoyen souhaite recevoir. La réponse qu’ils peuvent présumer est celle d’un savoir accessible, en accord avec les attentes de celui-ci, qui se rapporte étroitement à son quotidien et qui peut contribuer au développement de son bien-être, aussi bien social que psychologique.
A ce stade, il devient clair que le citoyen a besoin d’être stimulé par
des actions simples comme des conférences vulgarisantes relatives, entre autres, à la psychologie appliquée, sans l’encombrer de notions théoriques et tout en mettant à sa disposition des astuces pratiques qui lui permettraient d’assurer son autonomie psychologique, de s’adapter à son environnement, de résoudre ses problèmes de tous les jours, et de gérer ses émotions, son stress, ainsi que ses états mentaux et affectifs.
Par ailleurs, les participants a cette rencontre sont appelé à mener une réflexion sur le volet sociétal et d’envisager des communications sur le travail social, dans l’objectif de sensibiliser les citoyens sur les différentes manières d’intégrer la société dans une approche basée essentiellement sur la promotion de la justice, faisant ainsi des individus fragiles socialement des personnes autonomes, capables d’élaborer leurs propres projets et de les réaliser dans des structures fondées sur les bases d’une économie Sociale, notamment les coopératives.
Mohammed Drihem

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