L’Espagne cède aux pressions algériennes en accueillant sur son sol le criminel Brahim « Benbatouche »Ghali.
L’accueil par l’Espagne du fugitif Brahim Ghali alias Mohamed Benbatouche, recherché par la justice espagnole pour viol et crimes de terrorisme et de génocide, peut être considéré comme un message d’hypocrisie envoyé à la face du monde libre. L’Espagne a t-elle cédé aux sirènes du gaz algérien ? Peut-être ! Les intérêts gaziers entre les deux pays étant si forts.
L’entrée en Espagne sous fausse identité algérienne de Brahim Ghali soulève de multiples interrogations.
Il est devenu de notoriété publique que les autorités algériennes ont bien organisé le transfert du criminel polisarien Brahim Ghali, avant que la presse espagnole ne publie l’information sur cette véritable turpitude, cet affront aux victimes de ce tortionnaire.
En expédiant le sieur Brahim Ghali chez les Espagnols, il semblerait que le régime algérien et ses services de renseignement envisageraient fortement de relooker les structures polisariennes.
En effet, des informations en provenance des camps de la mort de Tindouf indiquent que les autorités algériennes sont consciente que l’actuelle direction du polisario a épuisé tous ses moyens et, partant, ne peut pas aller plus loin.
C’est pourquoi les renseignements militaires algériens imposent, depuis deux jours, un Etat de siège discret à Rabouni (Sud-Ouest algérien), où est basé le polisario.
Mieux encore, certains dirigeants du polisario croient savoir que l’Algérie a demandé à Mostafa Bachir, alias Buicher, de se préparer pour succéder au dénommé Ghali à la tête du polisario.
Tel est le sort qui attend désormais tous les dirigeants du polisario
Dirigeants du polisario, ne tombez jamais malade ! Vos amis algériens assureront votre transfert vers des hôpitaux à l’étranger en toute clandestinité. Votre remplacement à la tête de votre mouvement terroriste sera également assuré !
L’ONU et la communauté internationale doivent tenir l’Algérie responsable pour le rôle qu’elle a joué dans ce conflit du Sahara marocain et que les autorités algériennes et leurs généraux ne viennent pas nous dire que c’est la faute au Sirocco, ce vent saharien, qui s’en va en Espagne et atterri en France et en Allemagne et leur fait tourner la tête et assèche leur gorge.
Farid Mnebhi.
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