Les rêves polisariens sont à jeter dans la déchetterie du voisin oriental
Il n’y a pas photo, la ratonnade reçue par les polisariens à El Guerguerate et à Mahbes les a poussé à inventer des actes de bravoure et multiplier les fake-news. Perdu et isolé, les dirigeants terropolisariens n’ont plus que la propagande et les intox pour espérer calmer la colère des populations sahraouies marocaines séquestrées dans les camps de la honte de Tindouf et à qui ilsont vendu pendant des années que des chimères.
Autre mensonge du siècle vendu par les terropolisariens et colporté par l’agence de presse algérienne, APS, est celui, publié le 13 novembre 2020, selon lequel des hordes polisariennes auraient mené des attaques massives le long du mur de défense marocain dans les zones de Mahbès, Haouza, Aousserd et Farsia, qui auraient, à les en croire, causé des dégâts humains et matériels. Un beau gros mensonge à dormir debout !
Non satisfait de ces mensonges, la soi-disant agence de presse du polisario a rendu public, le 14 novembre 2020, un communiqué sommaire dans lequel le terroriste, Brahim Ghali, clame la fin du cessez-le-feu en vigueur depuis 1991 entre le Maroc et les criminels du polisario et instaure l’État de guerre.
Cette réaction du brigand de grand chemin polisarien s’explique aisément par les multiples réactions de la communauté internationale qui viennent conforter le bien-fondé et la légalité de l’action entreprise par le Maroc.
En effet, de nombreux pays Arabes, dont les Emirats Arabes Unis, le Bahreïn, le Qatar, l’Arabie Saoudite, le Koweït et la Jordanie ont soutenu le droit du Maroc de défendre à la fois son intégrité territoriale, mais aussi ses intérêts économiques. Selon les communiqués diffusés par les Ministères des Affaires Etrangères de ces pays, plus aucune atteinte à la liberté de circulation des biens et des personnes à travers le passage frontalier entre le Maroc et la Mauritanie ne doit être tolérée.
Pour sa part, la Mauritanie, premier pays à qui profite le rétablissement de l’ordre à El Guerguerat, a exhorté ses voisins du Nord à la retenue et au respect du cessez-le-feu.
Plus claire et nette est la position exprimée par l’Union Européenne. Dans un tweet en réaction à la fin de crise d’El Guerguerat, le Commissaire Européen au Voisinage et à l’Elargissement, Olivér Várhelyi, écrit « Je salue l’attachement du Maroc au cessez-le-feu. Garantir la libre circulation des personnes et des biens est fondamental. Préserver la stabilité politique et économique du voisinage est primordial ».
Dans toutes les réactions de la communauté internationale, on n’enregistre aucune dénonciation ou condamnation de l’intervention du Maroc à El Guerguerat. Bien au contraire, les réactions de l’ONU, de l’Union Africaine et de l’Union Européenne attestent une forme de soulagement et démontrent que le Maroc était dans son droit en mettant un terme définitif à l’obstruction du passage qui le relie à la Mauritanie.
Un seul bémol au concert de réactions internationales, celle de l’Algérie, mais qui reste étonnement mesurée compte tenu de l’hallali qu’elle n’a cessé de sonner ces dernières semaines pour ameuter les terropolisariens à sa solde.
Les réactions des Nations-Unies, de l’Union Africaine et de l’Union Européenne confortent donc largement le Maroc dans l’intervention qu’il a menée sur instruction du Chef Suprême des Forces Armées Royales, le Roi Mohammed VI.
Quant aux grabataires galonnés de l’Est, ils n’ont pas intérêt à provoquer de guerre car il ne trouvera aucun soutien de la part du peuple algérien qui n’a rien à gagner d’une confrontation. Le peuple Algérien sait bien que le régime actuel n’est pas légitime, n’a pas la légalité constitutionnelle. Il sait bien que ce qui se trouve au Palais Mouradia, au gouvernement, ce n’est que la façade d’une présence militaire qui manipule les marionnettes qui jouent devant le public.
S’agissant de la fermeture des frontières entre le Maroc et l’Algérie, le témoignage d’un ressortissant algérien est amplement suffisant. Le voici : « Un jour un Algérien, venu une fois au Maroc, juste à Oujda, il n’était pas allé à Casablanca a affirmé comprendre pourquoi le régime algérien s’entêtait à maintenir fermer la frontière. La raison est toute simple : si elle devait être ouverte, les Algériens pourront venir, voir et comparer, et ça risque de créer une révolution en Algérie ».
Ce citoyen Algérien a parfaitement raison dans ce qu’il a dit, car quand on pense à un pays qui a le gaz naturel, le pétrole et qui tire plus de 90% de ces recettes de ces ressources naturelles, et que malgré ça il n’arrive pas à arriver à un modèle comme celui du Qatar, ou des Emirats Arabes Unis, et qu’à côté, il y a le Maroc qui n’a pas de ressources naturelles comme l’Algérie, et pourtant arrive à un certain niveau de développement, la comparaison donne à réfléchir.
Farid Mnebhi.
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