A la veille de la nouvelle Résolution sur le Sahara Maroc, les polisariens et sa marraine algérienne s’emmêlent les pinceaux
Comme réaffirmé par le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres, dans un rapport soumis à l’Assemblée Générale, la situation au Sahara marocain reste marquée par le calme, coupant court aux allégations fallacieuses des terropolisariens sur la situation dans les Provinces du Sud du Maroc.
Les investissements se poursuivent et se renforcent depuis le lancement par le Roi Mohammed VI du nouveau modèle de développement des Provinces du Sud en novembre 2015, notamment avec le port de Lamhiriz, situé à quelque 65 km d’El Guerguerat, en attente dela construction dugrand port de Dakhla Atlantique.
Cet essor économique que connaît le Sahara marocain est accompagné par le renforcement et la consécration juridique de la pleine souveraineté du Maroc sur ses Provinces du Sud, à travers l’adoption de deux lois actualisant les limites des eaux territoriales et de sa zone économique exclusive y incluant les eaux au large des côtes du Sahara marocain.
Sur le plan diplomatique, il est a noter les inaugurations historiques, entre le 18 décembre 2019 et le 12 mars 2020, des Consulats Généraux africains dans les villes de Laâyoune et Dakhla par le Burundi, la République Centrafricaine, les Comores, la Côte d’Ivoire, Djibouti, le Gabon, la Gambie, la Guinée, le Liberia et São Tomé-et-Príncipe ce qui constitue une confirmation de la reconnaissance par la communauté internationale, particulièrement les pays africains, de la souveraineté du Maroc sur ses Provinces du Sahariennes.
.Sur le plan des Droits de l’Homme, les dirigeants polisariens poursuivent systématiquement le recours massif et à grande échelle aux harcèlements, arrestations et mauvais traitements de blogueurs, de médecins et d’infirmières dans les camps des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf.
Ce violations graves se sont multipliées contre tous ceux qui s’employaient à enregistrer les cas de COVID-19 dans les camps des séquestrés sahraouis dans les camps de la mort de Tindouf. Cette nouvelle vague de répression exercée par le polisario n’est qu’un exemple récent des violations massives et continues par ce groupe armé polisarien pour faire taire les voix de toute personne qui contredit le despotisme des terropolisariens.
A noter, que le Secrétaire Général de l’ONU a alerté, au début du mois d’octobre 2020, l’Assemblée Générale, de manière ferme et déterminée, sur les 57 violations majeures ainsi que plus de 1000 violations individuelles, de la part des polisariens et ses repris de justice, notamment sur la zone tampon de Guerguerat en y maintenant la présence d’éléments armés et en procédant au blocage du passage entre le Maroc et la Mauritanie. Des chiffres inédits dans les annales des Nations-Unies.
Ces violations constituent un défi à l’autorité du Secrétaire Général de l’ONU qui a, à maintes reprises, y compris le 27 septembre 2020, enjoint au polisario de respecter la liberté de circulation des biens et des personnes dans la zone de Guerguerat.
Enfin, suite au débat général de la 71ème session du Comité Exécutif du Programme du Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés, qui s’est tenu du 05 au 09 octobre 2020 à Genève, le diplomate algérien, Mehdi Litim a rejeté, le 07 octobre 2020, toutes les requêtes, y compris les résolutions du Conseil de Sécurité, appelant les autorités algériennes à recenser les Sahraouis des camps.
Ce diplomate algérien a même eu l’audace d’exhorter le HCR à tenir officiellement compte des conclusions de l’étude commune inter-agences de mars 2018, dont le rapport final intitulé « Les Réfugiés Sahraouis à Tindouf, Algérie : Population Totale des Camps » arrête le chiffre de 173.600 réfugiés sahraouis. Un chiffre, supérieur aux 90.000 que l’Union Européenne prend en considération à l’heure de calculer le volume des aides humanitaires destinées aux sahraouis marocains séquestrés des camps de la honte de Tindouf.
Attendons le verdict final qui sera prononcé en ce mois d’octobre 2020 par le Conseil de Sécurité sur le dossier du Sahara marocain. Un verdict qui fera retourner dans leur niches la queue entre les pattes, les polisariens, les autorités algériennes, les journaux algériens et étrangers, les ONG’s pro-polisariennes et les quelques pays à leur solde.
Farid Mnebhi.
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