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Une militante sahraouie se mobilise pour dénoncer le calvaire des populations sahraouies marocaines embastillées à Tindouf

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Cette militante sahraouie marocaine n’est autre que Madame Aicha Duihi qui n’a de cesse de parcourir le monde pour défendre la juste cause des séquestrés sahraouis marocains dans les camps de la mort sis à Tindouf en territoire algérien.

Une dame au parcours universitaire à faire pâlir de honte nombre d’algériens et les polisariens puisque Madame Aicha Duihi, suite à de brillantes études universitaires, est bardée de diplômes : un Diplôme des Etudes Supérieures Approfondies (DESA) en Economie des Organisations, une License en Management ainsi qu’un diplôme de l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE Poitier-France).

Son parcours professionnel est également très éloquent puisqu’elle est chercheuse de Droits de l’Homme et en Economie, Présidente de l’Observatoire du Sahara pour la Paix, la Démocratie et les Droits de l’Homme, membre de la Commission National de Coordination des Mesures de Lutte et Prévention contre la Traite des Êtres Humains et membre fondateur du réseau « WE » des défenseurs des Droits de l’Homme en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

Cette femme battante va se consacrer à la cause qu’elle portait toujours dans son cœur à savoir les Droits de l’Homme tout en travaillant en tant que responsable provinciale des Affaires Féminines et professeure formateur en Gestion des Entreprises.

Ainsi, la militante sahraouie Aicha Duihi multiplie les déplacements pour défendre la marocanité du Sahara et mobiliser contre le calvaire des sahraouis marocains embastillés dans les camps de Tindouf que ce soit à Genève, siège du Conseil des Droits de l’Homme, à New York au siège de l’ONU, ou au sein des Institutions Européennes à Bruxelles.

Au cours de ses multiples interventions au sein d’hémicycles internationaux, elle s’interroge sur le silence complice de la communauté internationale face à la torture et aux violations systématiques des Droits de l’Homme dans ces camps, qui sont devenues une pratique courante du polisario avec l’aval et la complicité des responsables algériens.

C’est à ce titre qu’elle oeuvre pour le renforcement de la culture des Droits de l’Homme dans les Provinces du Sud marocain et pour défendre d’autres causes qu’elle juge non moins importantes comme l’émigration et la traite des êtres Humains.

Madame Aicha Duihi, élevé à l’amour de la Patrie, s’est engagée dès sa tendre enfance dans le combat pour l’égalité homme-femme et pour le triomphe des Droits de l’Homme en contribuant à la création de nombreuses initiatives citoyennes, notamment en matière de défense des Droits de l’Homme, au niveau local, national et régional, et lancé de nombreux projets ciblant les enfants, les adolescents, les jeunes et la société civile tout en participant à de nombreuses manifestations régionales, continentales et internationales pour défendre les justes causes.

Un parcours et un engagement qui lui ont valu de prestigieuses récompenses, dont le Prix Européen pour le Leadership Féminin International au Parlement Européen qui lui a été décerné en Belgique en 2019.

Ce parcours remarquable de la militante sahraouie marocaine de Madame Aicha Duihi a de quoi crucifier de honte la traître Aminatou Haidar à la solde du régime algérien qui lui offre des pétrodollars pour chacune de ses sorties abracadabrantes portant atteinte au Maroc, sa Patrie où elle réside, tel ce coq pelé qu’est ce Brahim Ghali, dansant sur un plateau surchauffé au Palais de la Mouradia sis à Alger, et ce, au détriment du peuple algérien.

Ces dirigeants algériens vont nous pleurer une nouvelle fois que c’est la faute à la tramontane, ce vent de la montagne qui souffle en Kabylie et qui les assomme. Quelle belle bêtise innée des responsables algériens !

Quant à Madame Aicha Duihi, elle est, et restera, le printemps des Sahraouis marocains embastillés dans ces camps de l’horreur à Tindouf en plein Sud algérien.

Farid Mnebhi.

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